Éléments de littérature, Tom 3Verdière, 1825 |
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Strona 94
... Mérope : Ah ! que cela est beau ! ce n'était pas la vérité qui était belle ; car il n'est pas beau qu'une femme aille tuer un jeune homme , ni qu'une mère reconnaisse son fils au moment de le poignarder . C'était donc bien de l ...
... Mérope : Ah ! que cela est beau ! ce n'était pas la vérité qui était belle ; car il n'est pas beau qu'une femme aille tuer un jeune homme , ni qu'une mère reconnaisse son fils au moment de le poignarder . C'était donc bien de l ...
Strona 96
... Mérope , que la femme que vous voyez si affligée est Mérope elle - même , que les paroles que vous entendez sont l'expression de sa douleur . Or , de ces deux pensées , il faut que la dernière soit la dominante ; et par conséquent le ...
... Mérope , que la femme que vous voyez si affligée est Mérope elle - même , que les paroles que vous entendez sont l'expression de sa douleur . Or , de ces deux pensées , il faut que la dernière soit la dominante ; et par conséquent le ...
Strona 97
... Mérope , le poignard à la main , fendre la presse de nos jeunes seigneurs , pour percer le cœur de son fils ? et Mérope nous faisait fré- mir , et Phèdre nous arrachait des larmes . C'est sur ces exemples que se fondent ceux qui se ...
... Mérope , le poignard à la main , fendre la presse de nos jeunes seigneurs , pour percer le cœur de son fils ? et Mérope nous faisait fré- mir , et Phèdre nous arrachait des larmes . C'est sur ces exemples que se fondent ceux qui se ...
Strona 128
... Mérope sur le sort d'Égisthe , douleur , son désespoir à la nouvelle de sa mort , la révolution qui se fait en elle en le reconnais- sant , sont des mouvements que la nature indique à tout le monde ; mais ce retour si vrai , si pa ...
... Mérope sur le sort d'Égisthe , douleur , son désespoir à la nouvelle de sa mort , la révolution qui se fait en elle en le reconnais- sant , sont des mouvements que la nature indique à tout le monde ; mais ce retour si vrai , si pa ...
Strona 129
... Mérope par la force de l'illusion . Il en est de même du Qu'il mourût du vieil Ho- race , et de tous ces mouvements sublimes dans leur simplicité , qui semblent , quand ils sont placés , être venus s'offrir d'eux - mêmes . Lors- que le ...
... Mérope par la force de l'illusion . Il en est de même du Qu'il mourût du vieil Ho- race , et de tous ces mouvements sublimes dans leur simplicité , qui semblent , quand ils sont placés , être venus s'offrir d'eux - mêmes . Lors- que le ...
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Kluczowe wyrazy i wyrażenia
æther Anacréon Aristote Armide beau beauté carac caractère cause chant charme choses Cicéron Cléon comique crime Démosthène désinences dieux dire dit-il doit donner douleur Élém éloquence enim Eschine esprits etiam exemple faible Fingal génie genre goût Grecs harangues Hécube Homère hommes idée images imiter l'action l'ame l'amour l'art l'autre l'éloquence l'Énéide l'épopée l'esprit l'expression l'histoire l'Iliade l'illusion l'image l'ode l'orateur l'oreille l'un laisse langage langue Littér lyrique Massillon ment Mérope merveilleux Métastase modèle mœurs Molière moral mort mouvements moyens musique nasale nature naturel nombre non-seulement objet Orat oratio oratoire pantomime parler parterre passer passions pathétique peindre peint peinture pensée période personnages peuple Pindare plaisir poème poésie poète prose prosodie qu'un quæ quelquefois quum raison ridicule rien s'il sæpe scène sensible sentiment serait seul simple sion spectacle style sujet syllabes tableau théâtre Thucydide tion Tite-Live tragédie ture vérité vertu veut vices Virgile voilà voix voyelle vraisemblance Xénophon yeux
Popularne fragmenty
Strona 556 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Strona 386 - Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi? Est-ce l'Esprit divin qui s'empare de moi? C'est lui-même. Il m'échauffe. Il parle. Mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
Strona 116 - La perte d'un époux ne va point sans soupirs : On fait beaucoup de bruit, et puis on se console. Sur les ailes du Temps la tristesse s'envole : Le Temps ramène les plaisirs. Entre la veuve d'une année...
Strona 387 - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé ' ? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé * ? Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide ; De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé ; Ton encens , à ses yeux , est un encens souillé. Où menez-vous ces enfants et ces femmes*?
Strona 387 - D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants qu'en son sein elle n'a point portés? Lève , Jérusalem , lève ta tête altière ; Regarde tous ces rois de ta gloire étonnés: Les rois des nations, devant toi prosternés, De tes pieds baisent la poussière : Les peuples à l'envi marchent à ta lumière. Heureux qui pour Sion d'une sainte ferveur Sentira son âme embrasée ! Cieux , répandez votre rosée , Et que la terre enfante son sauveur ! JOSABET.
Strona 139 - Chacun songe en veillant; il n'est rien de plus doux : Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes; Tout le bien du monde est à nous, Tous les honneurs, toutes les femmes.
Strona 556 - Mais je me sens jaloux de tout ce qui te touche, De l'air qui, si souvent, entre et sort par ta bouche; Je crois qu'à ton sujet le soleil fait le jour Avecque des flambeaux et d'envie et d'amour.
Strona 309 - Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Strona 31 - Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté et l'indépendance, est aussi le seul qui se glorifie de faire la loi aux rois, et de leur donner, quand il lui plaît...
Strona 340 - Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée, Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat; Cette pourpre, cet or, que rehaussait sa gloire, Et ces lauriers encor témoins de sa victoire; Tous ces yeux qu'on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards; Ce port majestueux, cette douce présence...