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P. 401..... il semble que les Juifs devaient lui paraître.
P. 402..... peut-être.

P. 403..... avait pu entrevoir; peut-être le revit-elle en songe, et son sang lui donna-t-il le cauchemar?

P. 404..... il aurait avoué; il aurait expliqué; sans doute l'effet d'un rêveur; paraît ici moins dans le vrai.

P. 407..... peut-être Pilate voulut-il; d'autres, dit-on.

P. 408..... Pilate avait-il cru? espérait-il? il semblait résulter; dit-on; il est probable; il aura eu; il aura mis; il savait peut-être vaguement.

P. 409..... Luc semble avoir un sentiment éloigné des faits; l'auteur paraît avoir.

P. 410..... dit-on; au dire des chrétiens; ces mots furent-ils prononcés ? on en peut douter; Pilate ne pouvait guère faire que ce qu'il fit.

P. 411..... peut-être eût-il été; peut-être au moins n'eût-il pas. P. 415..... ce semble; on ne sait pas avec exactitude; il est difficile de placer le Golgotha à l'endroit précis; on est porté à croire; semble n'être pas sans rapport; ces deux endroits paraissent; j'inclinerais à placer le lieu où Jésus fut crucifié près de l'angle extrême que fait le mur actuel vers l'ouest, ou bien sur les buttes qui dominent, etc.

<< Devines si tu peux et choisis si tu l'oses! >>

P. 417..... porterait aussi à supposer; peuvent étre; on est donc, par moments, porté à croire.

P. 418..... peut-être usaient-ils en cela d'un droit; il raconta peut-être; il paraît que.

P. 421..... prêtent au doute.

P. 422..... on peut affirmer; s'il fallait en croire; l'expression peut, il est vrai; on s'explique d'autant moins.

P. 423..... peut-être même la hauteur; parait, en effet, avoir recueilli; le porta sans doute.

P. 424..... il parait que; il se repentit peut-être.

P. 427. il n'est pas probable que.

.....

P. 429..... il est douteux; mais en tous cas.

P. 30. probablement.

....

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P. 434. ..... son corps avait-il été enlevé, ou bien; nous ignorerons à jamais.

P. 433..... ce semble; parait du reste; probablement.

P. 436..... parait aussi provenir.

P. 437..... on prétendit; on supposa.

P. 438..... a pu donner lieu; peut-être n'omet-il; peut-être aussi.

P. 442..... on peut dire.

P. 445.... presque.

P. 447..... il se peut que; quelles que puissent être.

P. 451.... à quelques égards.

P. 455.... en supposant que.

P. 457..... probablement.

P. 458. il est probable aussi.

.....

P. 459 et dernière..... la grande originalité renaitra-t-elle, ou

le monde se contentera-t-il... etc? NouS L'IGNORONS!!!

CHAPITRE IV

L'ÉVANGILE SELON ERNEST RENAN.

I

M. Renan a démontré lui-même, mieux que personne ne le fera jamais, l'infériorité, ou tout au moins l'inutilité de son livre. L'aveu est grave et vaut la peine d'être enregistré. Nous lisons à la page 253 du livre :

« La France ne serait pas ce qu'elle est si l'on n'avait cru mille ans à la sainte ampoule de Reims. Il nous est facile à nous autres, impuissants que nous sommes, d'appeler cela mensonge, et, fiers de notre timide honnêteté, de traiter avec dédain les héros qui ont accepté, dans d'autres conditions, les luttes de la vie. Quand nous aurons fait avec nos scrupules ce qu'ils firent avec leurs mensonges, nous aurons le droit d'être pour eux sévères.»>>

S'il en est ainsi, si la foi qui accomplit de grandes choses vaut mieux que le doute qui réduit les hommes à l'impuissance, quelle est la moralité de l'entreprise de M. Renan?

II

Acceptons un moment ce système d'analyse à outrance, qui est à la vie religieuse ce que l'anatomie est à la vie physique. Admettons que les faits si patiemment découverts et coordonnés par M. Renan aient une réelle valeur historique; n'en est-il pas moins certain que la figure de l'Homme-Dieu est infiniment plus grande dans ce que M. Renan appelle la légende, qu'elle ne le sera jamais dans les récits les plus ingénieux, les plus habiles, les plus savamment fabriqués?

<«< On ne peut fonder de religion sans imposture, dit encore M. Renan; le seul coupable, en pareil cas, c'est l'humanité qui veut être trompée. »

Voilà qui est fort insolent.

La foi serait donc une duperie? Quelle vérité M. Renan apporte-t-il dans le monde? N'est-il pas lui-même un trompeur? N'y a-t-il pas dans cette attaque à nos croyances préparée de longue main, combinée avec sollicitude, quelque chose de plus perfide que les plus célèbres impostures?

Enfin M. Renan en convient lui-même. La foi des sociétés naïves et crédules est plus féconde que le doute méthodique des sociétés corrompues; quel était donc le but de son livre?

III

Pour nous, entrant plus avant dans la pensée de M. Renan et nous associant à sa façon de voir plus peut

être qu'il ne le voudrait lui-même, nous affirmons qu'il n'a rien démoli ni rien fondé. Quand même tout ce qu'il raconte sur Notre-Seigneur Jésus-Christ serait absolument indiscutable, il ne pourra jamais nous prouver que tout ce qui se passe dans son récit soit incompatible avec la doctrine de l'Église. Jésus était un rabbi, soit, et encore l'apôtre Jean l'a dit avant M. Renan; Jésus n'a probablement pas su le grec, soit; Jésus était né à Nazareth et non à Bethléem, soit; on ignore la date précise de sa naissance, soit; le nom de Jésus est une altération de Josué, soit; la population de Galilée était fort mêlée, et la maison de Joseph était une boutique; Jésus avait des frères et sœurs, soit encore; mais, en conscience, en quoi tout cela est-il inconciliable avec le mystère de l'incarnation?

IV

Si nous avions le malheur d'être incrédule, si jamais notre raison se trouvait à l'étroit dans le dogme, nous nous réfugierions encore avec confiance dans le sein de l'Église. Quand on a sondé toutes les philosophies et toutes les scolastiques, quand on s'est bien convaincu que, si brillantes qu'elles soient, toutes les conceptions de l'orgueil sont stériles et vaines, et que la métaphysique de Kant n'est pas plus utile au genre humain que les antimonies d'Hegel; quand on s'est rendu compte, en voyant les philosophes, de ce que vaut la philosophie; quand on ne veut plus se laisser étourdir par la hâblerie des embrouilleurs, on se dit tout naturellement qu'en matière de doctrine et de religion, ce qui

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