Précis historiques: bulletin des missions belges de la Compagnie de Jésus1877 |
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Strona 11
... enfants de l'Eglise catholique , à nos supérieurs hiérarchiques , et surtout à notre chef suprême , à l'illustre Pontife qui fait briller sur le siége de saint Pierre , avec toutes les vertus sacerdo- tales , < ce quelque chose d'achevé ...
... enfants de l'Eglise catholique , à nos supérieurs hiérarchiques , et surtout à notre chef suprême , à l'illustre Pontife qui fait briller sur le siége de saint Pierre , avec toutes les vertus sacerdo- tales , < ce quelque chose d'achevé ...
Strona 27
... enfants , mettant le feu aux temples et aux lamaseries , et traî- nant à leur suite les troupeaux , seule richesse de ces peuples pas- teurs . On dit que les huit - dixièmes de la population ont été mas- sacrés ou sont morts de faim ...
... enfants , mettant le feu aux temples et aux lamaseries , et traî- nant à leur suite les troupeaux , seule richesse de ces peuples pas- teurs . On dit que les huit - dixièmes de la population ont été mas- sacrés ou sont morts de faim ...
Strona 36
... enfants et des enfants du peuple . Ils le font pourtant de grand cœur ; ils agissent en dignes enfants de la catholique Belgique , en vrais imitateurs de leurs pieux an- cêtres . Eh bien ! en leur présentant , dans Jacques Hoys , un ...
... enfants et des enfants du peuple . Ils le font pourtant de grand cœur ; ils agissent en dignes enfants de la catholique Belgique , en vrais imitateurs de leurs pieux an- cêtres . Eh bien ! en leur présentant , dans Jacques Hoys , un ...
Strona 38
... enfants il fit instruire , pour les rendre capables d'embrasser les carrières où les attiraient leur goût ou leur capacité ! Il était vraiment le père des pauvres : et , lors de ses obsèques , M. le doyen d'Ostende , N. Janssens , put ...
... enfants il fit instruire , pour les rendre capables d'embrasser les carrières où les attiraient leur goût ou leur capacité ! Il était vraiment le père des pauvres : et , lors de ses obsèques , M. le doyen d'Ostende , N. Janssens , put ...
Strona 45
... enfants du peuple . L'institution de Jacques Hoys était un véritable orphelinat , où un certain nombre d'enfants pauvres de la ville étaient reçus dès leur bas âge , et recevaient , avec les soins les plus maternels , une instruction ...
... enfants du peuple . L'institution de Jacques Hoys était un véritable orphelinat , où un certain nombre d'enfants pauvres de la ville étaient reçus dès leur bas âge , et recevaient , avec les soins les plus maternels , une instruction ...
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Strona 417 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Strona 404 - Le chêne un jour dit au roseau : "Vous avez bien sujet d'accuser la nature : Un roitelet pour vous est un pesant fardeau. Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Strona 410 - Grippeminaud leur dit : Mes enfants, approchez, Approchez, je suis sourd, les ans en sont la cause. L'un et l'autre approcha, ne craignant nulle chose. Aussitôt qu'à portée il vit les contestants, Grippeminaud, le bon apôtre, Jetant des deux côtés la griffe en même temps, Mit les plaideurs d'accord en croquant l'un et l'autre.
Strona 486 - Qu'un ami véritable est une douce chose ! Il cherche vos besoins au fond de votre cœur; II vous épargne la pudeur De les lui découvrir vous-même Un songe, un rien, tout lui fait peur Quand il s'agit de ce qu'il aime.
Strona 486 - Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde ? En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos.
Strona 480 - J'aime le jeu, l'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout ; il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique.
Strona 482 - L'Arbre étant pris pour juge, Ce fut bien pis encore : il servait de refuge Contre le chaud, la pluie et la fureur des vents ; Pour nous seuls il ornait les jardins et les champs. L'ombrage n'était pas le seul bien q'u'il sût faire : II courbait sous les fruits. Cependant, pour salaire, Un rustre l'abattait, c'était là son loyer, Quoique, pendant tout l'an, libéral...
Strona 411 - Grégoire, Que gagnez-vous par an ? — Par an ! ma foi, monsieur, Dit avec un ton de rieur Le gaillard savetier, ce n'est point ma manière De compter de la sorte ; et je n'entasse guère Un jour sur l'autre : il suffit qu'à la fin J'attrape le bout de l'année ; Chaque jour amène son pain.
Strona 405 - Je définis la cour un pays où les gens, Tristes, gais, prêts à tout, à tout indifférents, Sont ce qu'il plaît au prince, ou, s'ils ne peuvent l'être, Tâchent au moins de le paraître. Peuple caméléon, peuple singe du maître ; On dirait qu'un esprit anime mille corps : C'est bien là que les gens sont de simples ressorts.
Strona 407 - J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait? Nulle offense; Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévouerai donc, s'il le faut; mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi ; Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.