Œuvres, avec notes par m. de Levizac, Tom 21804 |
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Strona 27
... sais que trop bien Que son cœur n'a jamais demandé que le mien . Je l'aimai ; je lui plus . Depuis cette journée , ( Dois - je dire funeste , hélas ! ou fortunée ? ) Sans avoir , en aimant , d'objet que son amour , Etrangère dans Rome ...
... sais que trop bien Que son cœur n'a jamais demandé que le mien . Je l'aimai ; je lui plus . Depuis cette journée , ( Dois - je dire funeste , hélas ! ou fortunée ? ) Sans avoir , en aimant , d'objet que son amour , Etrangère dans Rome ...
Strona 29
... sais que cet ami sincère Du secret de nos cœurs connoît tout le mystère ) Votre deuil est fini , rien n'arrête vos pas , Vous êtes seul enfin , et ne me cherchez pas . J'entends que vous m'offrez un nouveau diadême , Et ne puis ...
... sais que cet ami sincère Du secret de nos cœurs connoît tout le mystère ) Votre deuil est fini , rien n'arrête vos pas , Vous êtes seul enfin , et ne me cherchez pas . J'entends que vous m'offrez un nouveau diadême , Et ne puis ...
Strona 31
... sais - je j'ai peut - être avec trop de chaleur Rabaissé ses présens , ou blâmé sa douleur . N'est - ce point que de Rome il redoute la haine ? Il craint peut - être , il craint d'épouser un reine . Hélas ! s'il étoit vrai .... Mais non ...
... sais - je j'ai peut - être avec trop de chaleur Rabaissé ses présens , ou blâmé sa douleur . N'est - ce point que de Rome il redoute la haine ? Il craint peut - être , il craint d'épouser un reine . Hélas ! s'il étoit vrai .... Mais non ...
Strona 34
... sais que Bérénice , à vos soins redevable , Croit posséder en vous un ami véritable : Elle ne voit dans Rome et n'écoute que vous : Vous ne faites qu'un cœur et qu'une âme avec nous : Au nom d'une amitié si constante et si belle ...
... sais que Bérénice , à vos soins redevable , Croit posséder en vous un ami véritable : Elle ne voit dans Rome et n'écoute que vous : Vous ne faites qu'un cœur et qu'une âme avec nous : Au nom d'une amitié si constante et si belle ...
Strona 36
... sais que le sénat , tout plein de votre nom , D'une commune voix confirmera ce don . Je joins la Cilicie à votre Comagène . Adieu . Ne quittez point ma princesse , ma reine , Tout ce qui de mon cœur fut l'unique désir , Tout ce que j ...
... sais que le sénat , tout plein de votre nom , D'une commune voix confirmera ce don . Je joins la Cilicie à votre Comagène . Adieu . Ne quittez point ma princesse , ma reine , Tout ce qui de mon cœur fut l'unique désir , Tout ce que j ...
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
ACHILLE ACOMAT ACTE ÆGINE AGAMEMNON aime Allez amant âme amour Amurat ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARICIE ARSACE assez ATALIDE avoit Bajazet Bérénice cacher Calchas CENONE cher chercher CLYTEMNESTRE cœur connois courroux crime cruel dessein dieux dis-je discours douleur enfin ennemi époux ÉRIPHILE esclave étoit expirer falloit fatal fille fils flamme foible foiblesse funeste fureur gloire Grecs haine Hélas héros heureux HIPPOLYTE hymen Ibid IPHIGÉNIE ISMENE j'ai jamais jour juste l'aime l'amour l'autel l'ingrat laisse larmes Lesbos lieux long-temps m'en madame main malheur MITHRIDATE moi-même MONIME mort mortels Mycène Oh ciel OSMIN PANOPE parler paroître PAULIN pensée père perfide péril peut-être Pharnace PHEDRE Phénice PHODIME pleurs pouvoit prince prompt puis-je Racine reine rien rival Romains Rome ROXANE sais sang SCENE secret seigneur sentimens serrail seul soins sort soupirs sultan tendresse THERAMENE Thésée Titus tragédie trépas Trézène triste trouble ULYSSE vais venger veux vœux vois vous-même XIPHARES yeux Zaïre ZATIME
Popularne fragmenty
Strona 347 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale. Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains. Minos juge aux enfers tous les pâles humains. Ah ! combien frémira son ombre épouvantée , Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée , Contrainte d'avouer tant de forfaits divers , Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible?
Strona 6 - Je les conjure d'avoir assez bonne opinion d'eux-mêmes pour ne pas croire qu'une pièce qui les touche et qui leur donne du plaisir puisse être absolument contre les règles. La principale règle est de plaire et de toucher : toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première.
Strona 356 - Hippolyte Voit voler en éclats tout son char fracassé ; Dans les rênes lui-même il tombe embarrassé. Excusez ma douleur ; cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source éternelle. J'ai vu, seigneur, j'ai vu votre malheureux fils, Traîné par les chevaux que sa main a nourris.
Strona 321 - Portant partout le trait dont je suis déchiré, Contre vous, contre moi, vainement je m'éprouve : Présente, je vous fuis; absente, je vous trouve; Dans le fond des forêts votre image me suit; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite; Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte.
Strona 5 - Il y en a qui pensent que cette simplicité est une marque de peu d'invention. Ils ne songent pas qu'au contraire toute l'invention consiste à faire quelque chose de rien...
Strona 270 - C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les dieux, Et pour qui tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigne
Strona 327 - Au-devant de ton bras je le sens qui s'avance. Frappe : ou si tu le crois indigne de tes coups, Si ta haine m'envie un supplice si doux, Ou si d'un sang trop vil ta main serait trempée, Au défaut de ton bras prête-moi ton épée ; Donne.
Strona 311 - Puisque Vénus le veut, de ce sang déplorable. Je péris la dernière et la plus misérable.
Strona 235 - L'honneur parle , il suffit; ce sont là nos oracles. Les dieux sont de nos jours les maîtres souverains ; Mais , seigneur , notre gloire est dans nos propres mains.
Strona 347 - Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu , mon père , à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'urne terrible ; Je crois te voir , cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. Pardonne. Un dieu cruel a perdu ta famille : Reconnois sa vengeance aux fureurs de ta fille. Hélas ! du crime affreux dont la honte me suit Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit : Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie , Je rends dans les...