Œuvres, avec notes par m. de Levizac, Tom 21804 |
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Strona 34
... prêt à l'épouser , Vous ne la verrez plus que pour l'y disposer . TITUS . Ah ! qu'un aveu si doux auroit lieu de me plaire ! Que je serois heureux , si j'avois à le faire ! Mes transports aujourd'hui s'attendoient d'éclater ; Cependant ...
... prêt à l'épouser , Vous ne la verrez plus que pour l'y disposer . TITUS . Ah ! qu'un aveu si doux auroit lieu de me plaire ! Que je serois heureux , si j'avois à le faire ! Mes transports aujourd'hui s'attendoient d'éclater ; Cependant ...
Strona 49
... prêt à s'éloigner ; Mais il ne s'agit plus de vivre , il faut régner . BÉRÉNICE . Hé bien , régnez , cruel , contentez votre gloire : Je ne dispute plus . J'attendois , pour vous croire , Que cette même bouche , après mille serpens D'un ...
... prêt à s'éloigner ; Mais il ne s'agit plus de vivre , il faut régner . BÉRÉNICE . Hé bien , régnez , cruel , contentez votre gloire : Je ne dispute plus . J'attendois , pour vous croire , Que cette même bouche , après mille serpens D'un ...
Strona 54
... prêt à s'égarer . PAULIN . Venez , seigneur : passons dans la chambre prochaine ; Allons voir le sénat . ANTIOCHUS . Ah ! courez chez la reine . PAULIN . Quoi ! vous pourriez , seigneur , par cette indignité De l'empire à vos pieds ...
... prêt à s'égarer . PAULIN . Venez , seigneur : passons dans la chambre prochaine ; Allons voir le sénat . ANTIOCHUS . Ah ! courez chez la reine . PAULIN . Quoi ! vous pourriez , seigneur , par cette indignité De l'empire à vos pieds ...
Strona 60
... les pas que j'ai faits Je dois vous épouser encor moins que jamais . Oui , madame , et je dois moins encore vous dire Que je suis prêt pour vous d'abandonner l'empire , " De vous suivre et d'aller , trop content de mes 60 BERENICE .
... les pas que j'ai faits Je dois vous épouser encor moins que jamais . Oui , madame , et je dois moins encore vous dire Que je suis prêt pour vous d'abandonner l'empire , " De vous suivre et d'aller , trop content de mes 60 BERENICE .
Strona 63
... prêt à couler . ( à Titus , ) Mon cœur vous est connu , seigneur , et je puis dire Qu'on ne l'a jamais vu soupirer pour l'empire : La grandeur des Romains , la pourpre des Césars N'a point , vous le savez , attiré mes regards . J'aimois ...
... prêt à couler . ( à Titus , ) Mon cœur vous est connu , seigneur , et je puis dire Qu'on ne l'a jamais vu soupirer pour l'empire : La grandeur des Romains , la pourpre des Césars N'a point , vous le savez , attiré mes regards . J'aimois ...
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
ACHILLE ACOMAT ACTE ÆGINE AGAMEMNON aime Allez amant âme amour Amurat ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARICIE ARSACE assez ATALIDE avoit Bajazet Bérénice cacher Calchas CENONE cher chercher CLYTEMNESTRE cœur connois courroux crime cruel dessein dieux dis-je discours douleur enfin ennemi époux ÉRIPHILE esclave étoit expirer falloit fatal fille fils flamme foible foiblesse funeste fureur gloire Grecs haine Hélas héros heureux HIPPOLYTE hymen Ibid IPHIGÉNIE ISMENE j'ai jamais jour juste l'aime l'amour l'autel l'ingrat laisse larmes Lesbos lieux long-temps m'en madame main malheur MITHRIDATE moi-même MONIME mort mortels Mycène Oh ciel OSMIN PANOPE parler paroître PAULIN pensée père perfide péril peut-être Pharnace PHEDRE Phénice PHODIME pleurs pouvoit prince prompt puis-je Racine reine rien rival Romains Rome ROXANE sais sang SCENE secret seigneur sentimens serrail seul soins sort soupirs sultan tendresse THERAMENE Thésée Titus tragédie trépas Trézène triste trouble ULYSSE vais venger veux vœux vois vous-même XIPHARES yeux Zaïre ZATIME
Popularne fragmenty
Strona 347 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale. Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains. Minos juge aux enfers tous les pâles humains. Ah ! combien frémira son ombre épouvantée , Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée , Contrainte d'avouer tant de forfaits divers , Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible?
Strona 6 - Je les conjure d'avoir assez bonne opinion d'eux-mêmes pour ne pas croire qu'une pièce qui les touche et qui leur donne du plaisir puisse être absolument contre les règles. La principale règle est de plaire et de toucher : toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première.
Strona 356 - Hippolyte Voit voler en éclats tout son char fracassé ; Dans les rênes lui-même il tombe embarrassé. Excusez ma douleur ; cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source éternelle. J'ai vu, seigneur, j'ai vu votre malheureux fils, Traîné par les chevaux que sa main a nourris.
Strona 321 - Portant partout le trait dont je suis déchiré, Contre vous, contre moi, vainement je m'éprouve : Présente, je vous fuis; absente, je vous trouve; Dans le fond des forêts votre image me suit; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite; Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte.
Strona 5 - Il y en a qui pensent que cette simplicité est une marque de peu d'invention. Ils ne songent pas qu'au contraire toute l'invention consiste à faire quelque chose de rien...
Strona 270 - C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les dieux, Et pour qui tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigne
Strona 327 - Au-devant de ton bras je le sens qui s'avance. Frappe : ou si tu le crois indigne de tes coups, Si ta haine m'envie un supplice si doux, Ou si d'un sang trop vil ta main serait trempée, Au défaut de ton bras prête-moi ton épée ; Donne.
Strona 311 - Puisque Vénus le veut, de ce sang déplorable. Je péris la dernière et la plus misérable.
Strona 235 - L'honneur parle , il suffit; ce sont là nos oracles. Les dieux sont de nos jours les maîtres souverains ; Mais , seigneur , notre gloire est dans nos propres mains.
Strona 347 - Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu , mon père , à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'urne terrible ; Je crois te voir , cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. Pardonne. Un dieu cruel a perdu ta famille : Reconnois sa vengeance aux fureurs de ta fille. Hélas ! du crime affreux dont la honte me suit Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit : Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie , Je rends dans les...