Œuvres, avec notes par m. de Levizac, Tom 21804 |
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Strona 5
... force pour attacher durant cinq actes leurs spectateurs par une action simple , soutenue de la violence des passions , de la beauté des sentimens , et de l'élégance de l'expression . Je suis bien éloigné de croire que toutes ces choses ...
... force pour attacher durant cinq actes leurs spectateurs par une action simple , soutenue de la violence des passions , de la beauté des sentimens , et de l'élégance de l'expression . Je suis bien éloigné de croire que toutes ces choses ...
Strona 44
... force m'abandonne ; et le repos me tue . Phénice ne vient point ! Ah ! que cette longueur D'un présage funeste épouvante mon cœur ! Phénice n'aura point de réponse à me rendre : Titus , l'ingrat Titus n'a point voulu l'entendre ; Il ...
... force m'abandonne ; et le repos me tue . Phénice ne vient point ! Ah ! que cette longueur D'un présage funeste épouvante mon cœur ! Phénice n'aura point de réponse à me rendre : Titus , l'ingrat Titus n'a point voulu l'entendre ; Il ...
Strona 98
... forces d'Atalide ' ; Et ne m'exposez point aux plus vives douleurs Qui jamais d'une amante épuisèrent les pleurs . BAJAZET . Et que deviendrez - vous , si , dès cette journée , Je célèbre à vos yeux ce funeste hyménée ? ATALIDE . Ne ...
... forces d'Atalide ' ; Et ne m'exposez point aux plus vives douleurs Qui jamais d'une amante épuisèrent les pleurs . BAJAZET . Et que deviendrez - vous , si , dès cette journée , Je célèbre à vos yeux ce funeste hyménée ? ATALIDE . Ne ...
Strona 126
... force et mes esprits : Ses femmes m'entouroient quand je les ai repris ; A mes yeux étonnés leur troupe est disparue . Ah ! trop cruelles mains qui m'avez secourue , Vous m'avez vendu cher vos secours inhumains : Et par vous cette ...
... force et mes esprits : Ses femmes m'entouroient quand je les ai repris ; A mes yeux étonnés leur troupe est disparue . Ah ! trop cruelles mains qui m'avez secourue , Vous m'avez vendu cher vos secours inhumains : Et par vous cette ...
Strona 139
... force les mœurs turques , la po- litique sanglante du serrail , la servile existence d'un peuple innombrable enfermé dans cette prison du des- potisme , les passions des sultanes , le caractère et les in- térêts des visis , qui se ...
... force les mœurs turques , la po- litique sanglante du serrail , la servile existence d'un peuple innombrable enfermé dans cette prison du des- potisme , les passions des sultanes , le caractère et les in- térêts des visis , qui se ...
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
ACHILLE ACOMAT ACTE ÆGINE AGAMEMNON aime Allez amant âme amour Amurat ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARICIE ARSACE assez ATALIDE avoit Bajazet Bérénice cacher Calchas CENONE cher chercher CLYTEMNESTRE cœur connois courroux crime cruel dessein dieux dis-je discours douleur enfin ennemi époux ÉRIPHILE esclave étoit expirer falloit fatal fille fils flamme foible foiblesse funeste fureur gloire Grecs haine Hélas héros heureux HIPPOLYTE hymen Ibid IPHIGÉNIE ISMENE j'ai jamais jour juste l'aime l'amour l'autel l'ingrat laisse larmes Lesbos lieux long-temps m'en madame main malheur MITHRIDATE moi-même MONIME mort mortels Mycène Oh ciel OSMIN PANOPE parler paroître PAULIN pensée père perfide péril peut-être Pharnace PHEDRE Phénice PHODIME pleurs pouvoit prince prompt puis-je Racine reine rien rival Romains Rome ROXANE sais sang SCENE secret seigneur sentimens serrail seul soins sort soupirs sultan tendresse THERAMENE Thésée Titus tragédie trépas Trézène triste trouble ULYSSE vais venger veux vœux vois vous-même XIPHARES yeux Zaïre ZATIME
Popularne fragmenty
Strona 347 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale. Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains. Minos juge aux enfers tous les pâles humains. Ah ! combien frémira son ombre épouvantée , Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée , Contrainte d'avouer tant de forfaits divers , Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible?
Strona 6 - Je les conjure d'avoir assez bonne opinion d'eux-mêmes pour ne pas croire qu'une pièce qui les touche et qui leur donne du plaisir puisse être absolument contre les règles. La principale règle est de plaire et de toucher : toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première.
Strona 356 - Hippolyte Voit voler en éclats tout son char fracassé ; Dans les rênes lui-même il tombe embarrassé. Excusez ma douleur ; cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source éternelle. J'ai vu, seigneur, j'ai vu votre malheureux fils, Traîné par les chevaux que sa main a nourris.
Strona 321 - Portant partout le trait dont je suis déchiré, Contre vous, contre moi, vainement je m'éprouve : Présente, je vous fuis; absente, je vous trouve; Dans le fond des forêts votre image me suit; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite; Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte.
Strona 5 - Il y en a qui pensent que cette simplicité est une marque de peu d'invention. Ils ne songent pas qu'au contraire toute l'invention consiste à faire quelque chose de rien...
Strona 270 - C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les dieux, Et pour qui tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigne
Strona 327 - Au-devant de ton bras je le sens qui s'avance. Frappe : ou si tu le crois indigne de tes coups, Si ta haine m'envie un supplice si doux, Ou si d'un sang trop vil ta main serait trempée, Au défaut de ton bras prête-moi ton épée ; Donne.
Strona 311 - Puisque Vénus le veut, de ce sang déplorable. Je péris la dernière et la plus misérable.
Strona 235 - L'honneur parle , il suffit; ce sont là nos oracles. Les dieux sont de nos jours les maîtres souverains ; Mais , seigneur , notre gloire est dans nos propres mains.
Strona 347 - Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu , mon père , à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'urne terrible ; Je crois te voir , cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. Pardonne. Un dieu cruel a perdu ta famille : Reconnois sa vengeance aux fureurs de ta fille. Hélas ! du crime affreux dont la honte me suit Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit : Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie , Je rends dans les...