Œuvres, avec notes par m. de Levizac, Tom 21804 |
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Strona 9
... demander un entretien secret . ARSACE . Vous , seigneur , importun ? vous , cet ami fidèle Qu'un soin si généreux intéresse pour elle ? Vous , cet Antiochus son amant autrefois ? Vous que l'Orient compte entre ses plus grands rois ...
... demander un entretien secret . ARSACE . Vous , seigneur , importun ? vous , cet ami fidèle Qu'un soin si généreux intéresse pour elle ? Vous , cet Antiochus son amant autrefois ? Vous que l'Orient compte entre ses plus grands rois ...
Strona 10
... demander que vous quittiez l'empire ? Que vous m'aimiez ? Hélas ! je ne viens que vous dire Qu'après m'être long - temps flatté que mon rival Trouveroit à ses vœux quelque obstacle fatal , Aujourd'hui qu'il peut tout , que votre hymen s ...
... demander que vous quittiez l'empire ? Que vous m'aimiez ? Hélas ! je ne viens que vous dire Qu'après m'être long - temps flatté que mon rival Trouveroit à ses vœux quelque obstacle fatal , Aujourd'hui qu'il peut tout , que votre hymen s ...
Strona 23
... demander l'empire des humains ; Elle a même , dit - on , le cœur d'une Romaine , Elle a mille vertus : mais , seigneur , elle est reine . Rome , par une loi qui ne se peut changer , N'admet avec son sang aucun sang étranger , Et ne ...
... demander l'empire des humains ; Elle a même , dit - on , le cœur d'une Romaine , Elle a mille vertus : mais , seigneur , elle est reine . Rome , par une loi qui ne se peut changer , N'admet avec son sang aucun sang étranger , Et ne ...
Strona 35
... demander son départ à ses yeux . Sauvons de cet affront mon nom et sa mémoire ; Et puisqu'il faut céder , cédons à notre gloire . Ma bouche et mes regards , muets depuis huit jours , L'auront pu préparer à ce triste discours : Et même ...
... demander son départ à ses yeux . Sauvons de cet affront mon nom et sa mémoire ; Et puisqu'il faut céder , cédons à notre gloire . Ma bouche et mes regards , muets depuis huit jours , L'auront pu préparer à ce triste discours : Et même ...
Strona 50
... demander ? Maintiendrai - je des lois que je ne puis garder ? BÉRÉNICE . Vous ne comptez pour rien les pleurs de Bérénice ! TITUS . Je les compte pour rien ! Ah ciel ! quelle injustice ! BÉRÉNICE . Quoi ! pour d'injustes lois que vous ...
... demander ? Maintiendrai - je des lois que je ne puis garder ? BÉRÉNICE . Vous ne comptez pour rien les pleurs de Bérénice ! TITUS . Je les compte pour rien ! Ah ciel ! quelle injustice ! BÉRÉNICE . Quoi ! pour d'injustes lois que vous ...
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
ACHILLE ACOMAT ACTE ÆGINE AGAMEMNON aime Allez amant âme amour Amurat ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARICIE ARSACE assez ATALIDE avoit Bajazet Bérénice cacher Calchas CENONE cher chercher CLYTEMNESTRE cœur connois courroux crime cruel dessein dieux dis-je discours douleur enfin ennemi époux ÉRIPHILE esclave étoit expirer falloit fatal fille fils flamme foible foiblesse funeste fureur gloire Grecs haine Hélas héros heureux HIPPOLYTE hymen Ibid IPHIGÉNIE ISMENE j'ai jamais jour juste l'aime l'amour l'autel l'ingrat laisse larmes Lesbos lieux long-temps m'en madame main malheur MITHRIDATE moi-même MONIME mort mortels Mycène Oh ciel OSMIN PANOPE parler paroître PAULIN pensée père perfide péril peut-être Pharnace PHEDRE Phénice PHODIME pleurs pouvoit prince prompt puis-je Racine reine rien rival Romains Rome ROXANE sais sang SCENE secret seigneur sentimens serrail seul soins sort soupirs sultan tendresse THERAMENE Thésée Titus tragédie trépas Trézène triste trouble ULYSSE vais venger veux vœux vois vous-même XIPHARES yeux Zaïre ZATIME
Popularne fragmenty
Strona 347 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale. Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains. Minos juge aux enfers tous les pâles humains. Ah ! combien frémira son ombre épouvantée , Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée , Contrainte d'avouer tant de forfaits divers , Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible?
Strona 6 - Je les conjure d'avoir assez bonne opinion d'eux-mêmes pour ne pas croire qu'une pièce qui les touche et qui leur donne du plaisir puisse être absolument contre les règles. La principale règle est de plaire et de toucher : toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première.
Strona 356 - Hippolyte Voit voler en éclats tout son char fracassé ; Dans les rênes lui-même il tombe embarrassé. Excusez ma douleur ; cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source éternelle. J'ai vu, seigneur, j'ai vu votre malheureux fils, Traîné par les chevaux que sa main a nourris.
Strona 321 - Portant partout le trait dont je suis déchiré, Contre vous, contre moi, vainement je m'éprouve : Présente, je vous fuis; absente, je vous trouve; Dans le fond des forêts votre image me suit; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite; Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte.
Strona 5 - Il y en a qui pensent que cette simplicité est une marque de peu d'invention. Ils ne songent pas qu'au contraire toute l'invention consiste à faire quelque chose de rien...
Strona 270 - C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les dieux, Et pour qui tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigne
Strona 327 - Au-devant de ton bras je le sens qui s'avance. Frappe : ou si tu le crois indigne de tes coups, Si ta haine m'envie un supplice si doux, Ou si d'un sang trop vil ta main serait trempée, Au défaut de ton bras prête-moi ton épée ; Donne.
Strona 311 - Puisque Vénus le veut, de ce sang déplorable. Je péris la dernière et la plus misérable.
Strona 235 - L'honneur parle , il suffit; ce sont là nos oracles. Les dieux sont de nos jours les maîtres souverains ; Mais , seigneur , notre gloire est dans nos propres mains.
Strona 347 - Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu , mon père , à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'urne terrible ; Je crois te voir , cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. Pardonne. Un dieu cruel a perdu ta famille : Reconnois sa vengeance aux fureurs de ta fille. Hélas ! du crime affreux dont la honte me suit Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit : Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie , Je rends dans les...