Essai sur la Métaphysique d'Aristote, Tom 1

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Vrin, 1837 - 599

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Strona ii - Faire connaître cet ouvrage par une analyse étendue et en déterminer le plan. 2° En faire l'histoire, en signaler l'influence sur les systèmes ultérieurs dans l'antiquité et les temps modernes.
Strona 590 - ... l'artiste toujours en travail, c'est la vie universelle, l'âme universelle, c'est la Nature. Mais la Nature ne se règle pas sur les Idées, comme le démiurge de Platon. Les Idées ne sont conçues que par la raison réfléchie de l'homme, et non par la raison spontanée de la Nature. La Nature tend de toutes parts au bien sans le voir au-dessus d'elle « comme un lointain idéal * », mais sous l'immédiate influence du désir. Son élan vers le bien est spontané, inconscient et par conséquent...
Strona 499 - C'est à expérience qu'il appartient encore de les faire arriver à l'acte: seulement il n'est plus besoin ici de l'énumération préalable de la totalité ou même du plus grand nombre des cas particuliers auxquels le principe s'applique. Dès la première expérience du rapport de deux termes, universels, dans un genre quelconque, l'induction peut étendre le même rapport à tous les genres possibles avec une infaillible certitude. Dès la première expérience elle peut établir comme nécessaire...
Strona 438 - L'humanité, dit-il, est la fin de la nature; la nature ne fait rien en vain, et c'est pour l'homme qu'elle a tout fait. Mais l'humanité est le résume de tous les règnes et de toutes les époques de la nature; l'humanité a donc aussi son commencement, sa fin, ses degrés de perfection; et ce n'est que dans sa fin qu'est la perfection el la dernière fin de la nature.
Strona 583 - \insi, l'entendement humain est une puissance passive qui peut prendre toutes les formes, recevoir toutes les idées : comme la matière première, c'est ce qui peut tout devenir; c'est la puissance universelle dans le monde des idées, comme la matière dans le monde de la réalité.
Strona 355 - Ses dix. catégories sont : la substance , la quantité, la qualité, la relation, le lieu, le temps, la situation, avoir, agir et pâlir: c'est-à-dire , comme le remarquent très bien MM.
Strona 104 - Arislote ou un plus grand qu'Aristote. « La difficulté peut se résoudre en considérant le XIIe livre comme inachevé. Tout le passage où il est question de la pluralité des moteurs immobiles n'est , selon nous , qu'une hypothèse qu'Aristote propose un instant et qu'il entoure de tous les arguments dont elle paraît s'appuyer, afin d'y substituer immédiatement la vraie doctrine, la doctrine de l'unité. Seulement il s'est contenté d'exposer la première théorie , sans la faire précéder...
Strona 388 - Indéterminée, indéfinie, la matière n'est que la puissance d'où sortent les contraires. Elle n'est donc pas l'être ; il n'ya d'être que dans ce qui a pris forme et qui existe en acte. La forme occupe seule le champ de la réalité, et seule y tombe sous l'intuition. La matière ne se laisse pas connaître en elle-même (y vin âyvuoro; x«5...
Strona 479 - La vraie vie de l'homme, n'en dût-il jouir qu'un jour, qu'un seul instant, est la vie divine. La fin de la nature est l'action parfaite de la pensée pure dans l'unité absolue de la spéculation.
Strona 446 - ... plaisir pur et constant, né de l'activité, et qui engendre à son tour une activité nouvelle, signe durable et certain de la perfection de l'âme, de la santé et de la force morales. Il faut que ce plaisir soit complet dans le sens de l'étendue comme dans le sens de l'intensité et de l'énergie. « La vie humaine n'est pas d'un jour, et une hirondelle ne fait pas le printemps. » Ainsi répandu sur toute la durée de l'exisl.

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