Œuvres complètes, Tom 15Pourrat frères, 1836 |
Z wnętrza książki
Wyniki 1 - 5 z 31
Strona 7
... peine les derniers mots de son histoire , qu'un sommeil bienfaisant se glissa dans ses membres fatigués , et vint suspendre les soucis de son âme 1 . ' Madame Dacier a trop altéré ce morceau . Elle paraphrase des vers tels que ceux - ci ...
... peine les derniers mots de son histoire , qu'un sommeil bienfaisant se glissa dans ses membres fatigués , et vint suspendre les soucis de son âme 1 . ' Madame Dacier a trop altéré ce morceau . Elle paraphrase des vers tels que ceux - ci ...
Strona 9
... peine quittés de la veille . Où est donc la beauté de la peinture ? dans la vérité . Les modernes sont en général plus savants , plus délicats , plus déliés , souvent même plus intéres- sants dans leurs compositions que les anciens ...
... peine quittés de la veille . Où est donc la beauté de la peinture ? dans la vérité . Les modernes sont en général plus savants , plus délicats , plus déliés , souvent même plus intéres- sants dans leurs compositions que les anciens ...
Strona 17
... peine né et sans expérience , est déjà le parfait modèle de l'homme : on sent qu'il n'est point sorti des entrailles infirmes d'une femme , mais des mains vivantes de Dieu . Il est noble , majestueux , et tout à la fois plein d ...
... peine né et sans expérience , est déjà le parfait modèle de l'homme : on sent qu'il n'est point sorti des entrailles infirmes d'une femme , mais des mains vivantes de Dieu . Il est noble , majestueux , et tout à la fois plein d ...
Strona 19
... , vous serez plus triste , plus poignant , parce que le cœur s'arrête à peine dans le pré- sent , et anticipe les maux qui le menacent . Il faut donc toujours , dans nos tableaux , unir le bonheur 2 . DU CHRISTIANISME . 19.
... , vous serez plus triste , plus poignant , parce que le cœur s'arrête à peine dans le pré- sent , et anticipe les maux qui le menacent . Il faut donc toujours , dans nos tableaux , unir le bonheur 2 . DU CHRISTIANISME . 19.
Strona 28
... peine à lui dans le présent ; la mère , sous notre culte , plus tendre , sans être moins prévoyante , oublie quel- quefois ses chagrins , en donnant un baiser à son fils . Les anciens n'arrêtoient pas long - temps les yeux sur l'enfance ...
... peine à lui dans le présent ; la mère , sous notre culte , plus tendre , sans être moins prévoyante , oublie quel- quefois ses chagrins , en donnant un baiser à son fils . Les anciens n'arrêtoient pas long - temps les yeux sur l'enfance ...
Inne wydania - Wyświetl wszystko
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
Agamemnon aime âme amour AMOUR CHAMPÊTRE anges antique avoient avoit beau idéal beauté Bible Bossuet c'étoit caractère chant CHAP CHAPITRE charmes chose christianisme ciel cœur connoissance d'Homère Démosthènes désert Didon Dieu dieux divin douleur éloquence Énée éternelle étoient étoit Eutrope Fénelon fin du volume foible forêts GÉNIE DU CHRIST GÉNIE DU CHRISTIANISME géométrie goût Grecs Hector héros Homère hommes humain Iliad Jésus-Christ Joseph jour l'âme l'amour l'antiquité l'Église l'enfer l'esprit l'histoire l'homme larmes Louis XIV malheureux Massillon ment mère merveilleux Milton modernes mœurs monde morale mort mythologie nature parle paroît paroles Pascal passions peinture Pénélope pensée père peuple philosophie Platon pleurs poëte poétique POLYEUCTE polythéisme premier prêtre Priam Racine religieux religion chrétienne reste rien rois Satan sciences sent seroit seul siècle de Louis simplicité solitude style sublime sujet tableau temple terre Tertullien tion Tite-Live tombeau Ulysse vérité vertu Virgile voilà voix Voltaire Voyez la note yeux Zaïre
Popularne fragmenty
Strona 42 - De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé; Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez-vous ces enfants et ces femmes * ? Le Seigneur a détruit la reine des cités, Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes ? Qui changera mes yeux en deux sources de larmes, Pour pleurer ton malheur...
Strona 334 - Il ira, cet ignorant dans l'art de bien dire, avec cette locution rude, avec cette phrase qui sent l'étranger, il ira en cette Grèce polie, la mère des philosophes et des orateurs ; et , malgré la résistance du monde, il y établira plus d'églises que Platon n'ya gagné de disciples par cette éloquence qu'on a crue divine...
Strona 42 - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé? Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide. De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé. Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez- vous ces enfants et ces femmes?
Strona 264 - Ce chien est à moi , disaient ces pauvres enfants; c'est ma place au soleil : voilà le commencement et l'image de l'usurpation de toute la terre.
Strona 226 - Les forêts ont été les premiers temples de la Divinité et les hommes ont pris dans les forêts la première idée de l'architecture. Cet art a donc dû varier selon les climats. Les Grecs ont tourné l'élégante colonne corinthienne avec son chapiteau de feuilles sur le modèle du palmier.
Strona 268 - Les sciences ont deux extrémités qui se touchent: la première est la pure ignorance naturelle, où se trouvent tous les hommes en naissant. L'autre extrémité est celle où arrivent les grandes âmes, qui, ayant parcouru tout ce que les hommes peuvent savoir, trouvent qu'ils ne savent rien, et se rencontrent en cette même ignorance d'où ils étaient partis; mais c'est une ignorance savante qui se connaît.
Strona 42 - En tes serments jurés au plus saint de leurs rois, En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même ; il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
Strona 68 - Et des crimes peut-être inconnus aux enfers! Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible? Je crois voir de ta main tomber l'urne terrible ; Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. Pardonne. Un dieu cruel a perdu ta famille: Reconnois sa vengeance aux fureurs de ta fille. Hélas! du crime affreux dont la honte me suit Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit: Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie.
Strona 153 - Per me si va nella città dolente; per me si va nell' eterno dolore; per me si va tra la perduta gente.
Strona 68 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale. Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains. Minos juge aux enfers tous les pâles humains.