Oeuvres de M. de Voltaire, Tomy 1-2Chez Etienne Ledet & compagnie., 1738 |
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Strona 33
... porte du Temple s'ouvre , & le Grand Prêtre paroît au milieu du Peuple . 1. PERSONNAGE DU CHOEUR . Esprits contagieux , Tyrans de cet Empire , Qui fouflez dans ces murs la mort qu'on y refpire , Redoublez contre nous votre lente fureur ...
... porte du Temple s'ouvre , & le Grand Prêtre paroît au milieu du Peuple . 1. PERSONNAGE DU CHOEUR . Esprits contagieux , Tyrans de cet Empire , Qui fouflez dans ces murs la mort qu'on y refpire , Redoublez contre nous votre lente fureur ...
Strona 36
... porte jufqu'aux Cieux leur juftice fuprême , Adorés de leur Peuple , ils font des Dieux eux - même ; Mais après leur trépas , que font - ils à vos yeux ? Vous éteignez l'encens que vous brûliez pour eux ; Et comme à l'intérêt l'ame ...
... porte jufqu'aux Cieux leur juftice fuprême , Adorés de leur Peuple , ils font des Dieux eux - même ; Mais après leur trépas , que font - ils à vos yeux ? Vous éteignez l'encens que vous brûliez pour eux ; Et comme à l'intérêt l'ame ...
Strona 44
... porte envie A ceux qui dans ces murs ont terminé leur vie . Quel état , quel tourment pour un cœur vertueux ! EGINE . Il n'en faut point douter , votre fort eft affreux . Ces Peuples qu'un faux zèle aveuglément anime , Vont bien - tôt à ...
... porte envie A ceux qui dans ces murs ont terminé leur vie . Quel état , quel tourment pour un cœur vertueux ! EGINE . Il n'en faut point douter , votre fort eft affreux . Ces Peuples qu'un faux zèle aveuglément anime , Vont bien - tôt à ...
Strona 64
... fait que la vertu fut toujours votre appui : JOCAST E. Et c'eft cette vertu qui me trouble aujourd'hui : Peut - être à m'accufer toujours promte & févère , Jo Je porte fur moi - même un regard trop auftère 64 OE DIP E ;
... fait que la vertu fut toujours votre appui : JOCAST E. Et c'eft cette vertu qui me trouble aujourd'hui : Peut - être à m'accufer toujours promte & févère , Jo Je porte fur moi - même un regard trop auftère 64 OE DIP E ;
Strona 65
Voltaire. Je porte fur moi - même un regard trop auftère : Peut - être je me juge avec trop de rigueur ; Mais enfin Philoctete a régné fur mon cœur . Dans ce cœur malheureux fon image est tracée , Ma vertu ni le tems ne l'ont point ...
Voltaire. Je porte fur moi - même un regard trop auftère : Peut - être je me juge avec trop de rigueur ; Mais enfin Philoctete a régné fur mon cœur . Dans ce cœur malheureux fon image est tracée , Ma vertu ni le tems ne l'ont point ...
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affez affreux ainfi ALBIN amour ARONS auffi avoit BRUTUS c'eft C'eſt Ciel courroux craint crime CROUPILLA Croupillac cruel deftin déja Dieux efprit EGINE Epoux eſt étoit EUPHE EUPHEM EUPHEMON FILS facré fang fans fauver fecret femble fens fent fentimens feroit fervir feul FIEREN FAT foibleffe foins foit fon cœur fon pere font foupçons fous fuis funefte fupplice fur-tout fureur gloire grace haine Hélas HEROD Hérode Hymen ICARE IDAMA j'ai JASMIN JOCAST jufte juſtice l'amour laiffe Licteurs lieux Life LISE Loix long-tems Madame mains malheureux Mariamne MARTH MAZAE MAZAEL Meffala MESSAL Monfieur Monftre mort n'eft NABAL OE DIPE paffer paffion Peuple PHILOCTETE PHORBA plaifir pleurs préfent preffe PRETRE PROCULUS puiffe raifon refpecte refte Reine rime Rois Romains Rome RONDON SALOM SCE SCENE Seigneur Sénat Tarquin tems tendreffe Thébains TITUS Tragédie trépas trifte Tullie Tyrans VALERIUS Varus vertu veux yeux
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Strona 128 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus': Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune...
Strona 127 - Asservi maintenant sous la commune loi, Par quel trouble me vois-je emporté loin de moi! Un moment a vaincu mon audace imprudente : Cette âme si superbe est enfin dépendante.
Strona 19 - Ou me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? Mon pere y dent 1'urne fatale. Le sort, dit-on, 1'a mise en ses severes mains. Minos juge aux Enfers tous les pales humains.
Strona 268 - Rome il se trouvait un traître Qui regrettât les rois et qui voulût un maître, Que le perfide meure au milieu des tourments! Que sa cendre coupable, abandonnée aux vents, Ne laisse ici qu'un nom plus odieux encore Que le nom des tyrans, que Rome entière abhorre ! ARONS, avançant vers l'autel.