Oeuvres de M. de Voltaire, Tomy 1-2Chez Etienne Ledet & compagnie., 1738 |
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Strona 27
... , affaffiné ? DIMAS . Ce fut de nos malheurs la premiere origine . Ce crime a de l'Empire entraîné la ruïnę . Du bruit de fon trépas mortellement frappés , A ré- A répandre des pleurs nous étions occupés : Quand du TRAGEDI E. 27.
... , affaffiné ? DIMAS . Ce fut de nos malheurs la premiere origine . Ce crime a de l'Empire entraîné la ruïnę . Du bruit de fon trépas mortellement frappés , A ré- A répandre des pleurs nous étions occupés : Quand du TRAGEDI E. 27.
Strona 28
Voltaire. A répandre des pleurs nous étions occupés : Quand du courroux des Dieux miniftre épouvanta ble , Funefte à l'innocent , fans punir le coupable , Un Monftre ( Loin de nous que faifiez - vous alors ? ) Un Monftre furieux vint ...
Voltaire. A répandre des pleurs nous étions occupés : Quand du courroux des Dieux miniftre épouvanta ble , Funefte à l'innocent , fans punir le coupable , Un Monftre ( Loin de nous que faifiez - vous alors ? ) Un Monftre furieux vint ...
Strona 29
... ces Dieux fa vorifent , Qui du fein de la gloire a pu vous arracher ? Dans ce féjour affreux que venez vous chercher ? PHILOC TETE . J'y viens porter mes pleurs & ma PHI TRAGEDIE . 29 Öférent fur la foi d'une vaine science, ...
... ces Dieux fa vorifent , Qui du fein de la gloire a pu vous arracher ? Dans ce féjour affreux que venez vous chercher ? PHILOC TETE . J'y viens porter mes pleurs & ma PHI TRAGEDIE . 29 Öférent fur la foi d'une vaine science, ...
Strona 30
Voltaire. PHILOC TETE . J'y viens porter mes pleurs & ma douleur profonde , Apprends mon infortune & les malheurs du Monde . Mes yeux ne verront plus ce digne fils des Dieux , 6 Cet appui de la Terre , invincible comme eux . L'innocent ...
Voltaire. PHILOC TETE . J'y viens porter mes pleurs & ma douleur profonde , Apprends mon infortune & les malheurs du Monde . Mes yeux ne verront plus ce digne fils des Dieux , 6 Cet appui de la Terre , invincible comme eux . L'innocent ...
Strona 31
... pleurs , Les Deftins en fecret préparoient nos malheurs . Que j'admirois en vous cette vertu fuprême , Ce cœur digne du Thrône & vainqueur de foi - mê me ! En vain l'amour parloit à ce cœur agité , C'est le premier Tyran que vous avez ...
... pleurs , Les Deftins en fecret préparoient nos malheurs . Que j'admirois en vous cette vertu fuprême , Ce cœur digne du Thrône & vainqueur de foi - mê me ! En vain l'amour parloit à ce cœur agité , C'est le premier Tyran que vous avez ...
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affez affreux ainfi ALBIN amour ARONS auffi avoit BRUTUS c'eft C'eſt Ciel courroux craint crime CROUPILLA Croupillac cruel deftin déja Dieux efprit EGINE Epoux eſt étoit EUPHE EUPHEM EUPHEMON FILS facré fang fans fauver fecret femble fens fent fentimens feroit fervir feul FIEREN FAT foibleffe foins foit fon cœur fon pere font foupçons fous fuis funefte fupplice fur-tout fureur gloire grace haine Hélas HEROD Hérode Hymen ICARE IDAMA j'ai JASMIN JOCAST jufte juſtice l'amour laiffe Licteurs lieux Life LISE Loix long-tems Madame mains malheureux Mariamne MARTH MAZAE MAZAEL Meffala MESSAL Monfieur Monftre mort n'eft NABAL OE DIPE paffer paffion Peuple PHILOCTETE PHORBA plaifir pleurs préfent preffe PRETRE PROCULUS puiffe raifon refpecte refte Reine rime Rois Romains Rome RONDON SALOM SCE SCENE Seigneur Sénat Tarquin tems tendreffe Thébains TITUS Tragédie trépas trifte Tullie Tyrans VALERIUS Varus vertu veux yeux
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Strona 128 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus': Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune...
Strona 127 - Asservi maintenant sous la commune loi, Par quel trouble me vois-je emporté loin de moi! Un moment a vaincu mon audace imprudente : Cette âme si superbe est enfin dépendante.
Strona 19 - Ou me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? Mon pere y dent 1'urne fatale. Le sort, dit-on, 1'a mise en ses severes mains. Minos juge aux Enfers tous les pales humains.
Strona 268 - Rome il se trouvait un traître Qui regrettât les rois et qui voulût un maître, Que le perfide meure au milieu des tourments! Que sa cendre coupable, abandonnée aux vents, Ne laisse ici qu'un nom plus odieux encore Que le nom des tyrans, que Rome entière abhorre ! ARONS, avançant vers l'autel.