Oeuvres de M. de Voltaire, Tomy 1-2Chez Etienne Ledet & compagnie., 1738 |
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Strona 163
... n'est point épouvantée , ) La mort en ce jour même à vos yeux préfentée . Enfin fi tant de maux ne vous étonnent pas , Si d'un front affûré vous marchez au trépas : * Du moins de vos Enfans embraffez la défenfe . Le Roi leur a du Trône ...
... n'est point épouvantée , ) La mort en ce jour même à vos yeux préfentée . Enfin fi tant de maux ne vous étonnent pas , Si d'un front affûré vous marchez au trépas : * Du moins de vos Enfans embraffez la défenfe . Le Roi leur a du Trône ...
Strona 216
... m'arrête ; il n'est rien qui m'étonne . Et je cours réparer , en cherchant votre Epoux , Ce tems que j'ai perdu fans combattre pour vous . MARIA MNE . Seigneur ... SCE SCENE III . MARIAMNE , ELISE , MA Gardes . 216 MARIAM NE ,
... m'arrête ; il n'est rien qui m'étonne . Et je cours réparer , en cherchant votre Epoux , Ce tems que j'ai perdu fans combattre pour vous . MARIA MNE . Seigneur ... SCE SCENE III . MARIAMNE , ELISE , MA Gardes . 216 MARIAM NE ,
Strona 233
... n'est pas , MYLORD , qu'il n'y ait auffi dans ma Patrie des Juges très - éclairez , & d'excellens Efprits aux- quels j'euffe pu rendre cet hommage . Mais vous favez que la Tragédie de Brutus eft née en Angleterre : Vous vous fouvenez ...
... n'est pas , MYLORD , qu'il n'y ait auffi dans ma Patrie des Juges très - éclairez , & d'excellens Efprits aux- quels j'euffe pu rendre cet hommage . Mais vous favez que la Tragédie de Brutus eft née en Angleterre : Vous vous fouvenez ...
Strona 239
... n'est pas d'ufage . du Théâtre L'endroit où l'on joue la Comédie , & les Défauts abus qui s'y font gliffez , font encore une caufe de cette féchereffe qu'on peut repro- Fran- cher à quelques - unes de nos Pièces . Les çais . bancs qui ...
... n'est pas d'ufage . du Théâtre L'endroit où l'on joue la Comédie , & les Défauts abus qui s'y font gliffez , font encore une caufe de cette féchereffe qu'on peut repro- Fran- cher à quelques - unes de nos Pièces . Les çais . bancs qui ...
Strona 246
... for- te de plaifir , dont nous ne nous doutons . pas . Il n'est point de Serpent ni de Monftre odieux , Qui par l'Art imité ne puiffe plaire aux yeux . Du Du moins que l'on me dife pourquoi il est permis 246 DISCOURS.
... for- te de plaifir , dont nous ne nous doutons . pas . Il n'est point de Serpent ni de Monftre odieux , Qui par l'Art imité ne puiffe plaire aux yeux . Du Du moins que l'on me dife pourquoi il est permis 246 DISCOURS.
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affez affreux ainfi ALBIN amour ARONS auffi avoit BRUTUS c'eft C'eſt Ciel courroux craint crime CROUPILLA Croupillac cruel deftin déja Dieux efprit EGINE Epoux eſt étoit EUPHE EUPHEM EUPHEMON FILS facré fang fans fauver fecret femble fens fent fentimens feroit fervir feul FIEREN FAT foibleffe foins foit fon cœur fon pere font foupçons fous fuis funefte fupplice fur-tout fureur gloire grace haine Hélas HEROD Hérode Hymen ICARE IDAMA j'ai JASMIN JOCAST jufte juſtice l'amour laiffe Licteurs lieux Life LISE Loix long-tems Madame mains malheureux Mariamne MARTH MAZAE MAZAEL Meffala MESSAL Monfieur Monftre mort n'eft NABAL OE DIPE paffer paffion Peuple PHILOCTETE PHORBA plaifir pleurs préfent preffe PRETRE PROCULUS puiffe raifon refpecte refte Reine rime Rois Romains Rome RONDON SALOM SCE SCENE Seigneur Sénat Tarquin tems tendreffe Thébains TITUS Tragédie trépas trifte Tullie Tyrans VALERIUS Varus vertu veux yeux
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Strona 128 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus': Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune...
Strona 127 - Asservi maintenant sous la commune loi, Par quel trouble me vois-je emporté loin de moi! Un moment a vaincu mon audace imprudente : Cette âme si superbe est enfin dépendante.
Strona 19 - Ou me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? Mon pere y dent 1'urne fatale. Le sort, dit-on, 1'a mise en ses severes mains. Minos juge aux Enfers tous les pales humains.
Strona 268 - Rome il se trouvait un traître Qui regrettât les rois et qui voulût un maître, Que le perfide meure au milieu des tourments! Que sa cendre coupable, abandonnée aux vents, Ne laisse ici qu'un nom plus odieux encore Que le nom des tyrans, que Rome entière abhorre ! ARONS, avançant vers l'autel.