Oeuvres de M. de Voltaire, Tomy 1-2Chez Etienne Ledet & compagnie., 1738 |
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Strona 25
... çher- cher la mort ? Venez - vous de nos Dieux affronter la colere ? Nul mortel n'ofe ici mettre un pied téméraire ; Ces climats font remplis du céleste courroux , Et la mort dévorante habite parmi nous . B 5 Thèbe Thèbe depuis long ...
... çher- cher la mort ? Venez - vous de nos Dieux affronter la colere ? Nul mortel n'ofe ici mettre un pied téméraire ; Ces climats font remplis du céleste courroux , Et la mort dévorante habite parmi nous . B 5 Thèbe Thèbe depuis long ...
Strona 36
... cher , & votre négligence De fes Mânes facrés a trahi la vengeance . Tel eft fouvent le fort des plus juftes des Rois , Tant qu'ils font fur la Terre on refpecte leurs Loix : On porte jufqu'aux Cieux leur juftice fuprême , Adorés de ...
... cher , & votre négligence De fes Mânes facrés a trahi la vengeance . Tel eft fouvent le fort des plus juftes des Rois , Tant qu'ils font fur la Terre on refpecte leurs Loix : On porte jufqu'aux Cieux leur juftice fuprême , Adorés de ...
Strona 90
... Cher Prince , a pu dans nous raffembler tant d'hor- reurs ? OE DIP E. Il n'eft pas eneor tems de répandre les larmes ; Vous apprendrez bien - tôt d'autres fujets d'allarmes . Ecoutez Vous OE DI PE , Porterent jufqu'à moi cette voix ...
... Cher Prince , a pu dans nous raffembler tant d'hor- reurs ? OE DIP E. Il n'eft pas eneor tems de répandre les larmes ; Vous apprendrez bien - tôt d'autres fujets d'allarmes . Ecoutez Vous OE DI PE , Porterent jufqu'à moi cette voix ...
Strona 141
... , j'aigris fon desespoir , J'empoifonnai le trait dont il fentoit l'atteinte ; Tu le vis plein de trouble & d'horreur & de crain- Jurer te , Jurer d'exterminer les reftes dangereux D'un Sang toujours trop cher TRAGEDI E. 141.
... , j'aigris fon desespoir , J'empoifonnai le trait dont il fentoit l'atteinte ; Tu le vis plein de trouble & d'horreur & de crain- Jurer te , Jurer d'exterminer les reftes dangereux D'un Sang toujours trop cher TRAGEDI E. 141.
Strona 142
Voltaire. Jurer d'exterminer les reftes dangereux D'un Sang toujours trop cher aux perfides Hé- breux ; Et dès ce même inftant fa facile colere , Deshérita les Fils , & condamna la Mere . Mais fa fureur encor flattoit peu mes fouhaits ...
Voltaire. Jurer d'exterminer les reftes dangereux D'un Sang toujours trop cher aux perfides Hé- breux ; Et dès ce même inftant fa facile colere , Deshérita les Fils , & condamna la Mere . Mais fa fureur encor flattoit peu mes fouhaits ...
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affez affreux ainfi ALBIN amour ARONS auffi avoit BRUTUS c'eft C'eſt Ciel courroux craint crime CROUPILLA Croupillac cruel deftin déja Dieux efprit EGINE Epoux eſt étoit EUPHE EUPHEM EUPHEMON FILS facré fang fans fauver fecret femble fens fent fentimens feroit fervir feul FIEREN FAT foibleffe foins foit fon cœur fon pere font foupçons fous fuis funefte fupplice fur-tout fureur gloire grace haine Hélas HEROD Hérode Hymen ICARE IDAMA j'ai JASMIN JOCAST jufte juſtice l'amour laiffe Licteurs lieux Life LISE Loix long-tems Madame mains malheureux Mariamne MARTH MAZAE MAZAEL Meffala MESSAL Monfieur Monftre mort n'eft NABAL OE DIPE paffer paffion Peuple PHILOCTETE PHORBA plaifir pleurs préfent preffe PRETRE PROCULUS puiffe raifon refpecte refte Reine rime Rois Romains Rome RONDON SALOM SCE SCENE Seigneur Sénat Tarquin tems tendreffe Thébains TITUS Tragédie trépas trifte Tullie Tyrans VALERIUS Varus vertu veux yeux
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Strona 128 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus': Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune...
Strona 127 - Asservi maintenant sous la commune loi, Par quel trouble me vois-je emporté loin de moi! Un moment a vaincu mon audace imprudente : Cette âme si superbe est enfin dépendante.
Strona 19 - Ou me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? Mon pere y dent 1'urne fatale. Le sort, dit-on, 1'a mise en ses severes mains. Minos juge aux Enfers tous les pales humains.
Strona 268 - Rome il se trouvait un traître Qui regrettât les rois et qui voulût un maître, Que le perfide meure au milieu des tourments! Que sa cendre coupable, abandonnée aux vents, Ne laisse ici qu'un nom plus odieux encore Que le nom des tyrans, que Rome entière abhorre ! ARONS, avançant vers l'autel.