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entrée sur un corridor de deux mètres de largeur, puis autre porte semblable, six; puis vous voyez le grand préau à travers les énormes barreaux de la septième. Maintenant, voulez-vous compter tous les obstacles qu'aurait à franchir le détenu qui tenterait de s'évader de sa cellule ?... Comptons: porte de fer au bas de l'escalier, huit; porte; de fer à l'entrée de la section des bâtiments, neuf; et enun porte de la cellule, dix... dix portes!... Et je ne vous dis pas comme elles sont fortement ferrées, je ne vous montre pas leur serrure pesant plus de dix kilogrammes.

L'évasion est donc impossible, et ce qui le prouve plus que la description que vous venez de lire, c'est que le prisonnier le plus fameux par ses évasions, B. a passé par la Roquette et il n'a jamais pu en sortir, et pourtant cet homme était arrivé à sa trentième évasion en 1844.

Il savait percer les voûtes d'un cachot, courir sur les toits, prendre son essor comme l'oiseau qui s'envole (c'est ainsi qu'il s'évada de Bicêtre), enlever les dalles d'une prison, s'ouvrir un passage souterrain en grattant la terre avec ses ongles (c'est le problème résolu dans une autre maison de force.)

L'histoire de sa dernière évasion, racontée par luimême, dans un style excentrique, dira toute son adresse, toute sa persévérance, en même temps que la solidité des murs de la Roquette.

« Depuis un laps de six années on me bernait gratui<< tement d'une commutation, et il a fallu que je fusse « vraiment orthodoxe pour ne point violer ma promesse « de rester coi.... J'avais fait douze ans de double chaîne. « C'est alors que je ne pus contenir ma patience à élre a libre. J'entrepris donc seul une évasion que l'imagination « même ne peut approcher: ce fut de me faire enterrer « vivant par mes collègues aux bouts de la fosse aux mâts, « près de laquelle on faisait travailler, par extraordinaire, « tous les doubles chaînes. Je parvins à me creuser une « tombe et à y entrer dedans par des manœuvres que l'on « prendrait pour fabuleuses, me munissant des outils né« cessaires pour faire pénétrer l'air dans ma cache et des « provisions pour soutenir un blocus pendant plusieurs << jours.

«C'était en plein midi, je fis faire un branle-bas à des« sein, à portée de pistolet, par des camarades dévoués; « ce qui fit courir sus mon garde : et moi je me hissai « dans mon trou, lequel on couvrit de manière à ne don«ner aucune trace de ma disparution. Cependant on s'a« perçut bientôt de mon absence. Les autorités réunies ju« gèrent enfin que je ne pourrais être caché que dans un « égout! et pour ce le commissaire ordonne qu'on lâche « sur moi les écluses pour ou me noyer ou me faire dé«< guerpir.

«L'eau salante de la mer et celles bourbeuses de l'é« gout m'arrivèrent jusqu'au col seulement vu les basses « marées, et c'est dans cette position que je tins bon jus« qu'à la nuit, et dont j'en sortis par miracle, sans doute. « Une fois les barrières de la nature franchies, il me « restait à franchir celles des hommes; un courage sur« naturel me fit arriver au jour à deux lieues du bagne. « Je m'enfonçai dans un taillis touffu, et j'attendis les om«bres du Styx pour continuer ma route.

« La deuxième nuit, n'ayant pour effets que ceux trai« tres du bagne, trempés d'eau, de fange et de vase, je fis << la rencontre d'un ouvrier porteur d'un paquet; rien ne « s'opposait à ce que je le dévalise, et que je m'approprie « de ses vétements, qui seuls auraient pu protéger ma fuite; « je pouvais le tuer... l'idée ne m'en vint seulement pas... « Moi, flétri par tout ce qu'il y a de plus abject! moi,

« honni, conspué, villependé par les hommes, je n'osai « demander à ce prolétaire... que la direction de Blaye. « Ce sont mes hardes qui m'ont trahi, car, au troisième « jour, je ne pus résister à la faim; je me présentai à la « porte d'une maison pour caimander un morceau de « pain. Là, je fus reconnu, et saisi, garrotté par plusieurs << gens de la campagne, qui n'eurent rien de plus pressé « que de me livrer à mes anciens maîtres. Pour la tren« tième fois, je sortais d'échoir avant d'arriver à bonne fin. « Il faut donc y renoncer, il faut donc mourir là, et, par « suite de pareilles réflexions soliloques, devenir maussade, << morose et taciturne. >>

Le pauvre homme!

Il est encore au bagne, et avoue que les murailles de la Roquette, la solidité des voûtes des cacnots, la vigilance des surveillants déconcertent même les plus adroits et les plus persévérants.

Quand les nombreuses portes de la Roquette se sont fermées derrière un condamné, il lui est matériellement impossible d'en sortir, à moins qu'un ordre ne les fasse s'ouvrir, ce qui n'arrive que dans trois circonstances:

Quand le condamné est légalement rendu à la liberté ; Quand il monte dans la voiture cellulaire pour se rendre à une prison centrale ou au bagne;

Enfin, quand sa dernière heure a frappé et qu'il est conduit à l'échafaud. Hors ces trois cas, portes et murailles sont impénétrables, et c'était ce qu'avaient très-bien remarqué les voyageurs arrivant de Bicêtre, lesquels furent immédiatement installés dans leur nouvelle demeure; et je vous assure que, depuis cette époque jusqu'à l'an 1850, il s'y est passé d'étranges choses.

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POST-SCRIPTUM.

LECTURES DU SOIR.

A l'évasion si curieuse qu'il vient de nous citer, notre collaborateur nous permettra d'en ajouter une qui date d'hier, que nous tenons de source officielle, et qui signale, chez un forçat de Brest, le plus dramatique réveil de l'honneur et du dévouement.

On sait qu'une mission vient d'être prêchée au bagne de Brest. Parmi les galériens qu'elle avait ébranlés, sans les convertir, il y avait un condamné à perpétuité, que tout le monde redoutait pour sa force herculéenne.

Quelques jours après l'adieu des missionnaires, cet homme s'évada, malgré la surveillance active dont il était l'objet. Plus heureux que B., son prédécesseur, il se procura des habits de mendiant qui assuraient l'incognito de sa fuite.

Porté par sa première course à quelques lieues de Brest, il arrive, au point du jour, dans une ferme où il trouve toute une famille en larmes. Malgré la désolation commune, aïeul, père, femme et enfants s'empressent autour du pauvre, exténué de fatigue et de faim; sans lui demander qui il est ni d'où il vient, on lui offre cordialement le pain qui restait sur la planche et le dernier pot de cidre du cellier.

Cette hospitalité touchante réveille déjà les remords du galérien..

Hélas! se dit-il en mangeant et en buvant, me traiterait-on de la sorte, si l'on savait combien je le mérite peu?

Puis un vif intérêt pour ses hôtes s'empare de lui.

· Quel malheur vous afflige et vous fait pleurer ainsi? demande-t-il à la fermière qui rallumait le feu pour le réchauffer.

Les sanglots de la pauvre femme l'empêchent de répondre. Son mari s'en charge pour elle, et raconte que lui et sa famille sont chassés de leur maison, parce qu'ils n'ont pu solder, la veille, un terme arriéré de 42 francs. Et les larmes de recommencer, sans une seule plainte contre la rigueur des lois.

-Dieu nous punit sans doute, balbutie la grand'mère; que sa justice et sa volonté soient faites!

Devant un tel désastre et une telle résignation, le galérien rentre en lui-même avec horreur, pàlit d'admiration et pleure à son tour de pitié. Son cœur, endurci depuis tant d'années, s'amollit dans sa poitrine... L'homme

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- Vous êtes donc un voleur?

- Je suis un forçat évadé. La loi donne cinquante francs à l'honnête homme qui m'arrêtera. Cet honnête hommʊ, ce sera toi! Enchaîne-moi vite et partons!

La famille fut tentée de s'agenouiller devant le galérien, plutôt que de le rendre à la justice.

Mais il déclara qu'il se livrerait lui-même, et le jeune paysan obéit enfin.

Trois heures après, le géant redouté du bagne y rentrait, conduit par un enfant qu'il eût broyé d'un coup de poing.

Les gardiens et le directeur, qui avaient lancé une brigade à sa poursuite, ne pouvaient en croire leurs yeux. Comment! c'est ce garçon qui vous a arrêté? -C'est lui-même! Donnez-lui vite les cinquante francs. On les donna en effet; et le paysan raconta toute l'histoire.

Le lendemain, le récit en était envoyé au Président de la République, et le galérien repenti recevra bientôt la nouvelle de sa grâce.

Un homme qui se relève ainsi de la dégradation est sans doute incapable d'y retomber.

Et ne doutez pas un instant de l'exactitude de ces faits; car, outre la source officielle où nous les avons puisés, ils ont été affirmés, ces jours-ci, en pleine chaire, par un des plus illustres prédicateurs de Paris.

MOEURS DE L'ORIENT.

LES BAYADÈRES DE PERSE ET LEURS CHANTS.

La musique et la danse n'étaient point d'abord interdites aux musulmans par Mahomet. Il leur permettait aussi l'uage du vin, et leurs femmes pouvaient lever leurs voiles levant les étrangers, Les ordres contraires furent provoués, plus tard, par les abus et les scandales, lorsque Maomet se vit obligé de dire:- Moïse était le prophète e la parole; Jésus, le prophète de l'esprit; moi, je suis = prophète du glaive.

Les mahométans qui boivent, dansent, chantent et se èlent aux femmes, ne font donc que revenir aux habides des premiers croyants. Ibrahim-Paela y était si

bien revenu, que les excès du vin de Champagne ont hâté
sa mort. Tout le monde a pu voir, au Salon du Louvre,
le portrait d'un ambassadeur ottoman, fait par M. Maxime
David, ce qui est encore une énorme infraction aux ri-
gueurs de la loi.

En fait de danse et de musique, les schahs de Perse
sont les plus hardis violateurs du Coran. Feth-Ali-Schah,
notre contemporain, entretenait des musiciens et des dan-
seurs, en dépit des malédictions de son clergé. Il prési-
dait lui-même en cachette aux concerts et aux bals de son
harem, improvisait des chansons à boire, et affrontait
Mahomet jusqu'à inventer des pas de deux!

Du reste, la proscription de la danse et de la musique

en Orient tient à ce qu'elles y entraînent toujours l'ivrognerie et la débauche. Acteurs et spectateurs ne savent jamais en user sans tomber ivres-morts à la dernière note et au dernier entrechat.

Bayadère vient du persan baziguère ( femme destinée à l'amusement). Les danseurs mâles s'appellent rekkases ou souzmonis. On les prend de douze à dix-huit ans; on leur laisse croître les cheveux et on les habille de jupes de soie d'une ampleur démesurée. Ils accompagnent leurs mouvements du bruit des castagnettes. Les danses persanes expriment tour à tour la joie et la peine; une seule a le caractère martial; c'est celle de Nei Nadiré (la flûte de Nadir), qui s'exécute avec des poignards et des signes de colère poussés jusqu'à la rage.

Les bayadères dansent une à une; elles ne forment jamais la chaîne, elles ont toujours les pieds nus. Elles s'accompagnent du chant, des castagnettes et du tambour de basque. Elles font aux spectateurs les plus étranges surprises. Par exemple, elles s'élancent d'un bond sur les épaules de l'homme qui s'y attend le moins, et s'y tiennent debout en continuant leur chanson et en riant de son étonnement ou de sa frayeur. A l'un elles offrent un verre de vin posé sur leur tête; à l'autre elles jettent une fleur, à celui-ci un reproche, à celui-là un sourire. On ne leur élève ni amphithéâtre ni salle de danse. On les mande chez soi, avec ses amis: on s'assied sur des tapis, en rond, côte à côte avec les musiciens, et elles exécutent leurs pas au milieu du cercle.

Il y a quelques années, la danse de l'Abeille faisait fureur à Téhéran. La danseuse arrive effarée, elle se débat, comme piquée par une abeille, elle la cherche dans ses vêtements, et les défait l'un après l'autre. On sent que la convenance n'a rien à démêler ici. Tel est le caractère de toutes les danses des bayadères persanes. Leur grâce et leur succès consistent dans les mouvements qu'elles impriment à leur taille. Elles portent, comme Vénus, la victoire dans leur ceinture. Leur corps arrive ainsi à la souplesse ondoyante des serpents. C'est cette qualité, élevée au prodige, qui a fait la fortune de la danseuse royale Tchitt-Khanum (mot à mot, Mlle Toile-peinte), ainsi nommée à cause du tatouage compliqué qui rend sa peau semblable à une pièce d'indienne.

Les chants des bayadères persanes valent mieux que leurs danses. Toute leur musique est dans le rhythme. L'harmonie leur est inconnue. Elles ne font jamais de parties; elles chantent en chœur les mêmes notes à l'unisson. L'effet est donc monotone, mais d'une grande puissance, doublée par la perfection de la mesure.

Voici deux de leurs chansons, d'une tendresse et d'une naïveté primitives, et qui mériteraient en Europe le succès des chants populaires révélés par MM. Fauriel et Marmier (1).

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Il a neigé dans les montagnes, qu'elles sont belles! La neige couvre les anémones et les renoncules. Mais, Dieu soit loué mon amie arrive!

Frondeur, ne me jette plus de pierres, je suis blessé sans cela. Mon amie a une robe couleur de rose, et la mienne est toute noire.

Sous le rempart de la ville il croît trois rosiers. Que les feuilles en jaunissent et tombent une à une, qu'il n'en reste que l'arbre nu. Je l'ai aimée, et rien ne saurait remédier au mal qui me consume.

Elle porte des gâteaux de miel dans ses deux mains. L'amie est plus douce encore qu'un père et qu'une mère. A. CH.

LES BARBIERS TURCS ET LEURS BOUTIQUES.

Les boutiques des barbiers turcs sont simplement les cafés; et ces cafés ne ressemblent pas plus aux nôtres que leurs habitants ne ressemblent à nos Figaros.

Quatre murailles sans tentures ni papiers, quelquefois ornées d'arabesques, mais le plus souvent blanchies à la chaux; une pièce assez haute, en parallélogramme allongé; un plafond de bois à moulures et à dessins d'un style étrange; un parquet de terre nue, couvert de quelques nattes, où la plupart des consommateurs s'asseyent sur leurs talons; pour les personnages plus considérables, un banc de bois, garnissant les deux côtés de la boutique; ou bien une estrade élevée au fond, sur laquelle on perche au milieu des coussins et des tapis; ou bien encore de petits siéges de bois devant la porte, sorte de belvéders mobiles d'où l'on jouit du paysage et du mouvement extérieur; pour ameublement, le fourneau où se préparent le café, les sorbets, et autres boissons permises par le prophète; une collection de schibouks, de pipes, de narguilés et de parfums; une petite fontaine à jet d'eau, pendant l'été; pendant l'hiver un réchaud de cuivre étincelant, où brûle une pyramide de charbon enflammé; puis le maître du lieu, donnant tranquillement l'exemple aux fumeurs et aux buveurs; ses garçons arméniens servant et opérant le plus lentement possible. Tels sont le matériel et le personnel invariables d'un café turc.

Quelques-uns ont plus d'éclat ou d'importance, et offrent de gracieux modèles d'architecture byzantine, comme celui que représente ci-dessous notre gravure (la boutique d'un barbier du quartier franc, près le Quantarat el Gelideh, au Kaire, d'où l'œil embrasse le grand panorama de la mer et des pyramides); mais il va sans dire que de telles merveilles sont une exception dans la règle.

Quand vous entrez chez les barbiers turcs (et il y a foule auprès d'eux depuis que les barbes tombent sous les réformes de Réchid-Pacha), vous commencez par ôter

vos souliers ou vos babouches. Puis vous vous accroupissez sur une natte, ou vous grimpez dans une stalle du sofa de bois. Là, on vous apporte une pipe et une tasse de café. La pipe est aussi grande que la tasse est exiguë. Vous fumez l'une à plusieurs reprises, et vous renouvelez l'autre à discrétion. Les Musulmans se hâtent lentement, comme le héron de la fable. Il en est qui passent deux heures à épuiser un tchibouk, en l'interrompant de quinze à vingt tasses de café.

Quand vous avez bu et fumé, un garçon s'approche de vous en aiguisant son rasoir sur le cuir pendu à sa ceinture. Vous lui livrez votre tête, et il en use en maître absolu. Pour les indigènes, ceci est une opération toute simple. Pour les Européens, c'est une question ordinaire et extraordinaire. Le barbier vous inonde le visage d'eau et de savon. Gardez-vous alors d'ouvrir les yeux, et respirez par le nez, si c'est possible. Si c'est impossible, étouffez à loisir vous en avez tout le temps, car l'exécuteur est aussi lent qu'impassible. Il prend ensuite majestueusement son rasoir, et le promène sur votre épiderme avec le même sang-froid que s'il raclait un mannequin. Il vous saisit par le nez, par les moustaches, par les cheveux; il cogne votre tête au mur, il l'appuie sur son genou, à droite, à gauche, en avant, en arrière; il tiraille et presse vos joues, il poursuit la barbe jusqu'à la chair, passant et repassant à travers l'écume rosée, et ne s'inquiétant pas plus du sang prêt à jaillir, qu'un tanneur acharné à corroyer une peau de bête. Si vous gémissez, il est sourd; si vous

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Bayadère persane, offrant un verre de vin. criez, il est impitoyable; si vous vous débattez, il est aveugle; si vous le gourmandez, il est muet. Tout ce que vous obtiendrez de lui, c'est d'être contenu plus vigoureusement, manié plus impérieusement, ratissé plus donloureusement. Vous sortez enfin de cet étau à mille tranchants, et vous voyez le bourreau, très-content de lui, essuyer son rasoir entre le pouce et l'index. Il vous fait un petit salut, en secouant ses doigts, au risque de vous éclabousser. Après quoi, tirant un nouvel outil de sa trousse, i! empoigne vos oreilles, les distend et les ouvre, y souffle

Bayadère persane, sur les épaules d'un spectateur. Vous voyez, dans notre gravure, cet entonnoir élégant et rond, pendu au-dessus de la tête du patient. Le barbier en fait couler une eau tiède, qui tombe en douches sur l'occiput, sur le visage, dans le cou et souvent sur les habits de la pratique. Si le pauvre diable est submergé, cela le regarde! Le garçon lui a remis un plat, dans lequel il doit recueillir les cascades de son mieux. Or, comme il est obligé de fermer hermétiquement les yeux, pour leur épargner un bain de savon cuisant, le prétendu réservoir ne reçoit que quelques gouttes d'eau, et le caf

tan, la tunique, voire même les chausses, en absorbent le C'était écrit! comme ils disent. Et ce mot barre le proplus clair. Mais les musulmans se résignent à tout: grès chez eux, comme un rempart éternel.

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