Fables choisies, mises en vers, Tomy 1-2Luzac et van Damme, 1778 |
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Strona vii
... coup le décider , & fit germer dans fon ame l'amour de la Poë- fie que toutes les leçons & le goût parti- culier de fon pere n'avoient pû faire éclo- re . Un Officier alors en garnifon à Châ- teau - Thierry , lut un jour devant lui l ...
... coup le décider , & fit germer dans fon ame l'amour de la Poë- fie que toutes les leçons & le goût parti- culier de fon pere n'avoient pû faire éclo- re . Un Officier alors en garnifon à Châ- teau - Thierry , lut un jour devant lui l ...
Strona xii
... coup l'épée de la main , & en même temps fen- tir le ridicule de fon cartel . Cette fatis- faction parut fuffifante à La Fontaine : Poignan le ramena chez lui , où ils ache- verent , en déjeunant , de s'entendre mieux & de fe ...
... coup l'épée de la main , & en même temps fen- tir le ridicule de fon cartel . Cette fatis- faction parut fuffifante à La Fontaine : Poignan le ramena chez lui , où ils ache- verent , en déjeunant , de s'entendre mieux & de fe ...
Strona xvii
... coup vers Racine : qui étoit ce Ba- ruch ? lui dit - il , çavez - vous que c'est un beau génie ? Pendant plufieurs jours il fut continuellement occupé de Baruch , & ne fe laffoit point de demander à tous ceux qu'il rencontroit : avez ...
... coup vers Racine : qui étoit ce Ba- ruch ? lui dit - il , çavez - vous que c'est un beau génie ? Pendant plufieurs jours il fut continuellement occupé de Baruch , & ne fe laffoit point de demander à tous ceux qu'il rencontroit : avez ...
Strona xxi
... coup au nom de ( * ) C'étoit chez M. Laugeois d'Imbercourt , Fermier général , où M. Freron prétend qu'il fit fi bonne chère avec fi peu de dépense d'efprit . M. Racine le fils , dans les Mémoires qu'il a donné fur la vie de fon pere ...
... coup au nom de ( * ) C'étoit chez M. Laugeois d'Imbercourt , Fermier général , où M. Freron prétend qu'il fit fi bonne chère avec fi peu de dépense d'efprit . M. Racine le fils , dans les Mémoires qu'il a donné fur la vie de fon pere ...
Strona xxxi
... coup effrayé par les avertiffemens de fes amis , & par la conféquence de ces bruits . Il courut faire part de fes craintes au Duc de Saint - Aignan , l'un des favoris de Louis XIV , qui , fans adopter entiére- ment fes excufes , en eut ...
... coup effrayé par les avertiffemens de fes amis , & par la conféquence de ces bruits . Il courut faire part de fes craintes au Duc de Saint - Aignan , l'un des favoris de Louis XIV , qui , fans adopter entiére- ment fes excufes , en eut ...
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Kluczowe wyrazy i wyrażenia
Adieu affez ainfi alloit animal auffi auffi-tôt auroit avanture avoit beau Belette bête Bufte c'eft c'eſt C'étoit caufe ceffe Cérès Cerf chaffe Chat Chien chofe choſe confeil conte d'Efope devoit Dieu Dieux difoit dire dit-il Efope efprit enfans eſt étoient étoit FABLE VIII FABLE X fage faifant faifoit fans fçais fçait fçavoir fecond felon femble femme fens fent feroit fervir feul fœur foin foit fomme fon maître fonge font Fontaine Fortune fous fouvent fuis fuivante fujet fur fon gens grace Grenouilles homme J'ai jour Jupiter l'Aigle l'Ane l'autre l'efprit l'Ours L'un là-deffus laiffe Liévre Lion Loup mainte maniére meffieurs Monfieur mort n'avoit n'eft n'en Oifeau paffer Pantagruel pauvre penfe perfonne peuple Phédre philofophe plaifir plufieurs Plutarque Poëte pouvoit préfente PREMIERE puiffant raifon refte Renard rien s'eft s'en ſes ſon tête tréfor trouve voifin voilà vouloit Xantus
Popularne fragmenty
Strona 303 - Cultiver pour eux les campagnes; Nous quittons les cités, nous fuyons aux montagnes. Nous laissons nos chères compagnes; Nous ne conversons plus qu'avec des ours affreux, Découragés de mettre au jour des malheureux. Et de peupler pour Rome un pays qu'elle opprime. Quant à nos enfants déjà nés, Nous souhaitons de voir leurs jours bientôt bornés: Vos préteurs au malheur nous font joindre le crime.
Strona 232 - Voulez-vous quitter votre frère ? L'absence est le plus grand des maux : Non pas pour vous, cruel ! Au moins, que les travaux, Les dangers, les soins du voyage, Changent un peu votre courage.
Strona 239 - Il sera dieu : même je veux Qu'il ait en sa main un tonnerre. Tremblez, humains ! faites des vœux : Voilà le maître de la terre.
Strona 188 - Il retourne chez lui ; dans sa cave il enserre L'argent, et sa joie à la fois. Plus de chant ; il perdit la voix Du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines. Le sommeil quitta son logis, II eut pour hôtes les soucis, Les soupçons, les alarmes vaines.
Strona 157 - Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse ; Eh bien, manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché ? Non non.
Strona 48 - L'un vieillard, l'autre enfant, non pas des plus petits, Mais garçon de quinze ans, si j'ai bonne mémoire, Allaient vendre leur âne, un certain jour de foire. Afin qu'il fût plus frais et de meilleur débit, On lui lia les pieds, on vous le suspendit; Puis cet homme et son fils le portent comme un lustre.
Strona 168 - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son ; II était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable : J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est, une vache et son veau, Que je verrai sauter au milieu du troupeau ? Perrette là-dessus saute aussi, transportée : Le lait tombe ; adieu, veau, vache, cochon, couvée.
Strona 302 - II ne vous fasse en sa colère Nos esclaves à votre tour. Et pourquoi sommes-nous les vôtres? qu'on me die En quoi vous valez mieux que cent peuples divers?
Strona 116 - D'une cité plus grosse que Paris : Elle accoucha d'une souris. Quand je songe à cette fable , Dont le récit est menteur Et le sens est véritable , Je me figure un auteur Qui dit : Je chanterai la guerre Que firent les Titans au maître du tonnerre.
Strona 234 - J'ai quelquefois aimé : je n'aurais pas alors Contre le Louvre et ses trésors, Contre le firmament et sa voûte céleste, Changé les bois, changé les lieux Honorés par les pas, éclairés par les yeux De l'aimable et jeune bergère Pour qui, sous le fils de Cythère, Je servis, engagé par mes premiers serments.