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8. Sur les variétés des meteros et des étoiles filantes, dans le même.

9. Sur les formes des modifications des nuages et sur leurs réfractions.

10. Sur la projection de l'étoile Aldabaran sur la surface de la Lune, produite par les réfrac tions différentes des deux corps lumineux. 11. Sur les spectres oculaires, avec une classification de sensations.

12. Journaux météréologiques et astronomiques, que j'ai laissé en manuscrit.

13. Plusieurs journaux de l'histoire naturelle et de météorologie.

14. Résultat de plusieurs observations sur la dispersion de la lumière par le moyen des télescopes et de lunettes imparfaitement acromatiques.

15. Florilegium Poetica Aspirationis, etc. 16. Anthologia Borealii et Australis, ayant des collections de pièces détachées de poésie de plusieurs nations.

Encore, je me confesse d'avoir écrit toutes ces essais détachés dans le Perennial Calendar, auxquels j'ai attaché quelques signatures ou plus proprement des lettres, comme, A. B. S. R., et cætera.

La nature de mes recherches physiques me poussant peu à peu vers les limites de la raison humaine, je me trouve toujours dans la haute région de la métaphysique, qui est sans doute

mon propre élément; car il est, à l'étude de cette science, que mon organisation me porte, par l'action des organes de cause et de comparaison, aidés par une idéalité poétique mais sauvage et mal dirigée par l'éducation.

En regardant l'univers comme l'effet du pouvoir d'un être un et indivisible dans son essence nécessaire, je ne puis concevoir aucune étoile, même aucun atôme existant hors de l'influence plus ou moins directe de tous les autres: alors, pour ainsi dire, tout est la cause de tout; mais nous ne voyons la liaison entre toutes les choses clairement, parce que nous ne comprenons le tout de rien ! cette considération prouve la folie de nier la possibilité d'un système des influences quelconque, même celui de l'astrologie, pourvu que les faits desquels il dépend soient bien attestés. Mais comme par la métaphysique nous trouvons que les axiómes, desquels toutes les démonstrations de la mathématique dépendent, sont incapables de définition ou de preuve positive, nous cherchons la base de cette croyance natu. relle en eux, dans les sensations que nous trouvons en nous mêmes; et par là nous arrivions à ce vide mortel que la foi seule peut remplir plus j'y pense plus je suis convaincu de cette vérité,que la foi est la base de toute science physique ainsi que de tout espoir et de toute charité; ainsi donc, comme la foi dépend d'une

action cérébrale, que nul artifice de l'homme ne sait diriger, on monte à la source de l'être en priant Dieu qui a tout créé, de nous garantir journellement cette nourriture de la vie de l'intelligence.

Méditant sur ces idées abstraites, j'ai eu le songe qui suit que j'ai déjà fait imprimer en Italie, et qui ne mérite pas la peine d'être traduit.

LA VISIONE METAFISICA.

L'etincella de la fede enciende la vela de la esperanza y el fuego de la divina caridad.

Se il filosofo ricercherà quale sia l'origine e qual sarà la fine di tutto questo immenso universo, risolvendosi in fide, spe, et charitate dirà come In principio creavit omnia Deus, così, come bene dice Simonide,

Ω παι τέλος μὲν Ζευς ἔκει βαρύκτυπος παντων ὅσ ̓ ἐστιν·

Principio cœlum ac terras camposque liquentes Lucentemque globum lunæ Titaniaque astra

Spiritus intus alit, totamque infusa per artus
Mens agitet molem ac magno se corpore miscet.

O wel come cleareyed Faith, white handed Hope,
Thou hovering angel girt with golden wings,
And thou, unblemished form of Charity,

I see ye visibly, and now believe !

Soll ich mein letzes End' und ersten Anfang finden, So muss ich mich in Gott und Gott in mir ergründen, Und werden das war er; ich muss ein Schein im Schein,

Ich muss ein wort im wort, ein Gott im Gotte feyn.

Le monde est un système des choses invisibles manifestées visiblement.

Certimus nunc per speculum in aenigmate, tunc autem facie ad faciem, nunc novimus ex parte; tunc vero amplius cognoscemus; nunc autem manent tria haec Fides, Spes, et Charitas: major autem horum est Charitas.

Verso l'anno quadrigesimo quarto del mio pelerinagio mortale, dopo avere molto vaggiato per terra, e per mare, e per aria, io mi trovai

nella capitale d'Italia, ove mi sono sempre avezzo a vagare fra quelle rovine tanto celebri che restono del antiquo tempo: una volta che io cosi spassegiava, il giorno essendo stato estremamente caldo, io sedeva sotto un albero nel giardino Pincii spettando la celeberrima città di Roma che lo circonda; il sole cadendo nelle onde spargeva l'occidente quasi con uno polvere d'oro il rosignuolo cantava nel boschetto vicino, la mosca fosforica volando fra le piante sembiava portare il lume d'un fiore al altro: in un poco di tempo cadde la notte; tutte le campane di quattro cento chiese sonavano l'Ave Maria, l'ardente carro del sole caduto nelle onde d'occidente, e il cielo sparso d'innumerabile stelle mi avevano lasciatà una profonda e mirabile meditazione. La terra, diceva io, é solamente un picciolo punto fra innumerabli mondi di grandezze e di distanze troppo vaste per esser prese nella mente, e tuti sostenéntï la vita animale in ogni varietà di organizazione.

Ove, allor, si trova il termine di questo universo pieno di mondi? E il spacio infinito in grandezza ed eterno in durazione ? E le legge del Omnipotente uno principio eterno di varietà, di varia zione infinita? Sta l'Essere necessario, o potrebbe il Dio abolire il passato? Senza dubbio il mondo é un sistema di cose invisibili mani

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