Collection complette des oeuvres de Mr. de Voltaire, Tom 1;Tom 16Cramer, 1757 |
Kluczowe wyrazy i wyra¿enia
affez ainfi Anglais auffi aujourdhui avaient befoin c'eft C'eſt C'était Calviniftes Cardinal de Fleury Cardinal de Noailles Cardinal de Richelieu Cardinal Mazarin caufe chofes Clergé Colbert commença compofée Confeil conferver confidérables Cour d'Angleterre déja difait difputes donna Duc d'Orléans Ducheffe efprits enfans enfuite Etats Evêques faibleffe faifait falut fans favait fecours fecret femblait fentir fervir feul fiécle figner foit foldats font fouvent Françaiſe fubfifta fuccès fuivi fujet furtout goût grace guerre Henriette d'Angleterre Hollande hommes Jéfuites jufqu'à l'efprit l'Eglife l'Etat l'Europe l'Hiftoire laiffa Loix longtems Louis XIV Madame de Maintenon Madame de Montefpan Mademoiſelle Maifon Maintenon Maréchal de Villars Miniftre Monfieur mort n'avait n'eft n'était Nation néceffaire Noailles paffa paix Pape penfer perfonne peuple Philofophie plaifir plaifirs plufieurs prefque premiére prife prifon Prince Eugéne Princeffe propofitions puiffance puiffant refte Reine Richelieu Rome Royaume s'eft tems tion toûjours ufage vaiffeaux
Popularne fragmenty
Strona 257 - Il n'ya dans la nature humaine qu'une douzaine tout au plus de caractères vraiment comiques et marqués de grands traits.
Strona 239 - Un des ouvrages qui contribuèrent le plus à former le goût de la nation, et à lui donner un esprit de justesse et de précision, fut le petit recueil des Maximes de François, duc de La Rochefoucauld. Quoiqu'il n'y ait presque qu'une vérité dans ce livre, qui est que l'amour-propre est le mobile de tout...
Strona 173 - Quand on a l'État en vue, on travaille pour soi ; le bien de l'un fait la gloire de l'autre : quand le premier est heureux, élevé et puissant, celui qui en est cause en est glorieux, et par conséquent doit plus goûter que ses sujets, par rapport à lui et à eux, tout ce qu'il ya de plus agréable dans la vie.
Strona 174 - Je n'ai pas profité de tous les avantages que je pouvais avoir, et tout cela par complaisance et bonté. Enfin il a fallu que je lui ordonne de se retirer , parce que tout ce qui passait par lui perdait de la grandeur et de la force qu'on doit avoir en exécutant les ordres d'un roi de France.