Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; . i Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Greek Melic Poets - Strona 234autor: Herbert Weir Smyth - 1900 - Liczba stron: 564Pe³ny widok - Informacje o ksi±¿ce
| Voltaire - 1770 - Liczba stron: 1154
...mal qu'on ne croit. Athènes me montra mon fuperbe ennemi. le le vis , je rougis , je pâlis à fa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes...yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je fentis tout mon corps & tranfir & brûler. Je reconnus Vénus & fes traits redoutables , D'un fatig... | |
| Voltaire - 1773 - Liczba stron: 408
...palîîon de Phèdre. Athènes me montra mon fuperbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes...yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je fentis tout mon corps & tranfir & brûler. Je reconnus Vénus & fes traits redoutables , D'un fang... | |
| Voltaire - 1775 - Liczba stron: 444
...précifément les mêmes chofes que dirait la perfonne qu'il introduit. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue } Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. L'imagination alors ardente & fage , n'entafle point de figures incohérentes; elle ne dit point, par... | |
| Voltaire - 1784 - Liczba stron: 582
...la paffion de Phèdre. Athènes me montra mon fuperbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à fa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je fentis tout mon corps 8c tranfir 8c brûler. Je reconnus Vénus 8c fes traits redoutables v D'un fang... | |
| Voltaire - 1784 - Liczba stron: 522
...précifément les mêmes chofes que dirait la perfonne qu'il introduit. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler. L'imagination alors ardente &: fage n'entafle point de figures incohérentes ; elle ne dit point ,... | |
| 1787 - Liczba stron: 354
...bonheur sembtoit être affermi» Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis , je rougis, je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus ; je ne pouvois parler* Je sentis tout mon corps et rransir et brûler. Je recpnnus Vénus et ses feux redoutables,... | |
| Voltaire - 1789 - Liczba stron: 590
...paflion de Phèdre. Athènes me montra mon Aiperbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. Je ternis tout mon corps & tranûr & brûler ; Je reconnus Vénus & fes traits, redoutables, D'un fang... | |
| Voltaire - 1792 - Liczba stron: 336
...précifément es mêmes chofes que dirait la perionne qu'il ntroduit. Je le fis , je rongi» , je pâlis .'i fa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. L'imagination alors ardente & fage n'entafTs >oint de figures incohérentes ; elle ne d.; point , par... | |
| Voltaire - 1792 - Liczba stron: 362
...paflion de Phèdre. Athènes me montra mon fuperbc ennemi. Je le vis , ja rougîs, je pâlis à fa vue : Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. ' Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvait patler J; ',(.- fenlis tout moo corps & tianfir & biûler. Je reconnni Vénus & fes traits... | |
| 1797 - Liczba stron: 374
...même plein de Théocrite et de Sapho quand il fit ces beaux vers de Phèdre : Je le vis , jck,rougis , je palis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme -éperdue ; Mes yeux ne voyoient plu«, je ne pouvois pu. ler; Je sentis tout mon corps et transir et Wûler. ["'43 ) Ces traits... | |
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