Oeuvres de Jean Racine ...H. Bossange, 1829 |
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Strona 18
... mortels suis - je le plus heureux ? On dit qu'Iphigénie , en ces eux amenée , Doit bientôt à son sort unir ma destinée . AGAMEMNON . Ma fille ? Qui vous dit qu'on la doit amener ? ACHILLE . Seigneur , qu'a donc ce bruit qui vous doive ...
... mortels suis - je le plus heureux ? On dit qu'Iphigénie , en ces eux amenée , Doit bientôt à son sort unir ma destinée . AGAMEMNON . Ma fille ? Qui vous dit qu'on la doit amener ? ACHILLE . Seigneur , qu'a donc ce bruit qui vous doive ...
Strona 21
... mortel fut reçu dans son lit : Je puis choisir , dit - on , ou beaucoup d'ans sans gloire , Ou peu de jours suivis d'une longue mémoire . Mais , puisqu'il faut enfin que j'arrive au tombeau , Voudrois - je , de la terre inutile fardeau ...
... mortel fut reçu dans son lit : Je puis choisir , dit - on , ou beaucoup d'ans sans gloire , Ou peu de jours suivis d'une longue mémoire . Mais , puisqu'il faut enfin que j'arrive au tombeau , Voudrois - je , de la terre inutile fardeau ...
Strona 23
... mortel Votre fils Télémaque approcher de l'autel , Nous vous verrions , troublé de cette affreuse image , Changer bientôt en pleurs ce superbe langage , Eprouver la douleur que j'éprouve aujourd'hui , Et courir vous jeter entre Calchas ...
... mortel Votre fils Télémaque approcher de l'autel , Nous vous verrions , troublé de cette affreuse image , Changer bientôt en pleurs ce superbe langage , Eprouver la douleur que j'éprouve aujourd'hui , Et courir vous jeter entre Calchas ...
Strona 29
... mortels le plas cher à mes yeux . DORIS . Ah ! que me dites - vous ! ÉRIPHILE . Je me flattois sans cesse Qu'un silence éternel cacheroit ma foiblesse : Mais mon cœur trop pressé m'arrache ce discours , Et te parle une fois , pour se ...
... mortels le plas cher à mes yeux . DORIS . Ah ! que me dites - vous ! ÉRIPHILE . Je me flattois sans cesse Qu'un silence éternel cacheroit ma foiblesse : Mais mon cœur trop pressé m'arrache ce discours , Et te parle une fois , pour se ...
Strona 45
... mortels , A des embrasements ne borne point sa gloire , Laisse aux pleurs d'une épouse attendrir sa victoire , Et , par les malheureux quelquefois désarmé , Sait imiter en tout les dieux qui l'ont formé . ÉRIPHILE . Oui , seigneur , des ...
... mortels , A des embrasements ne borne point sa gloire , Laisse aux pleurs d'une épouse attendrir sa victoire , Et , par les malheureux quelquefois désarmé , Sait imiter en tout les dieux qui l'ont formé . ÉRIPHILE . Oui , seigneur , des ...
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ABNER Achille AEGINE AGAMEMNON AMAN amour Angélique ARCAS ARICIE Arnauld ASSUÉRUS ATHALIE avoient avoit c'étoit Calchas cardinal chante charmes cher CHOE U CHOEUR choses ciel cieux CLYTEMNESTRE cœur connois crime cruel David déja derniere dessein Dieu dieux dire discours doctrine enfant ennemis ÉRIPHILE esprit ESTHER étoient étoit évêques faisoit falloit fille fils foible formulaire funeste fureur gloire grace Grecs Hélas heureux HIPPOLYTE HYDASPE innocent IPHIGÉNIE Ismene ISRA ISRAELITE j'ai jamais jansénistes Jansenius jésuites Jézabel JOAD Joas JOSABET jour Juifs l'archevêque l'autel l'église laisse lévites livre long-temps lumiere madame mains maison malheureux Mardochée Mathan monastere mort mortels Mycene n'avoit paix pape par-tout parler pere peuple PHEDRE piété pleurs Port-Royal pouvoit prélats premiere prince princesse propositions reine religieuses de Port-Royal rois sacré saint SALOMITH sang SCENE secret seigneur seroit seule sœur soin sort sur-tout temple THÉRAMENE Thésée Trézene trouble vœux vois voix vouloit yeux ZACHARIE zele
Popularne fragmenty
Strona 61 - Et moi, qui l'amenai triomphante, adorée, Je m'en retournerai seule et désespérée ! Je verrai les chemins encor tout parfumés Des fleurs dont sous ses pas on les avait semés ! Non, je ne l'aurai point amenée au supplice, Ou vous ferez aux Grecs un double sacrifice.
Strona 217 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Strona 233 - Ma fille. En achevant ces mots épouvantables, Son Ombre vers mon lit a paru se baisser. Et moi, je lui tendais les mains pour l'embrasser. Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris, et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux, Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Strona 110 - Que dis-je? Il n'est point mort, puisqu'il respire en vous. Toujours devant mes yeux je crois voir mon époux. Je le vois, je lui parle; et mon cœur...
Strona 61 - Cette soif de régner que rien ne peut éteindre, L'orgueil de voir vingt rois vous servir et vous craindre, Tous les droits de l'empire en vos mains confiés, Cruel ! c'est à ces dieux que vous sacrifiez...
Strona 110 - Oui, Prince, je languis, je brûle pour Thésée. Je l'aime, non point tel que l'ont vu les enfers, Volage adorateur de mille objets divers, Qui va du Dieu des morts déshonorer la couche ; Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche, Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi, Tel qu'on dépeint nos Dieux, ou tel que je vous voi.
Strona 13 - Heureux qui, satisfait de son humble fortune, Libre du joug superbe où je suis attaché, Vit dans l'état obscur où les dieux l'ont caché ! ARCAS Et depuis quand, seigneur, tenez-vous ce langage?
Strona 142 - Cependant sur le dos de la plaine liquide S'élève à gros bouillons une montagne humide: L'onde approche, se brise et vomit à nos yeux Parmi des flots d'écume un monstre furieux...
Strona 135 - Regardez d'un autre œil une excusable erreur. Vous aimez. On ne peut vaincre sa destinée. Par un charme fatal vous fûtes entraînée.
Strona 168 - Hélas ! si jeune encore , Par quel crime ai-je pu mériter mon malheur? Ma vie à peine a commencé d'éclore : Je tomberai comme une fleur Qui n'a vu qu'une aurore.