Iphigénie en Aulide. Phèdre. Plan du premier acte d'Iphigénie en Tauride

Przednia ok³adka
De l'imprimerie de Louis Cellot. [et Chez Charles Panckoucke], 1768

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Strona 395 - Excusez ma douleur ; cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source éternelle : J'ai vu , seigneur, j'ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris.
Strona 348 - Quelques crimes toujours précèdent les grands crimes. Quiconque a pu franchir les bornes légitimes Peut violer enfin les droits les plus sacrés; Ainsi que la vertu, le crime a ses degrés; Et jamais on n'a vu la timide innocence Passer subitement à l'extrême licence. Un jour seul ne fait point d'un mortel vertueux Un perfide assassin, un lâche incestueux.
Strona 299 - Présente, je vous fuis : -absente, je vous trouve; Dans le fond des forêts votre image me suit; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite ; Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte.
Strona 308 - Oui , prince , je languis , je brûle pour Thésée : Je l'aime ; non point tel que l'ont vu les enfers , Volage adorateur de mille objets divers , Qui va du dieu des morts...
Strona 313 - Au-devant de ton bras je le sens qui s'avance. Frappe : ou si tu le crois indigne de tes coups, Si ta haine m'envie un supplice si doux, Ou si d'un sang trop vil ta main serait trempée, Au défaut de ton bras prête-moi ton épée ; Donne.
Strona 402 - Déjà je ne vois plus qu'à travers un nuage Et le ciel et l'époux que ma présence outrage ; Et la mort, à mes yeux dérobant la clarté, Rend au jour qu'ils souillaient toute sa pureté.
Strona 262 - Noble et brillant auteur d'une triste famille, Toi dont ma mère osait se vanter d'être fille, Qui peut-être rougis du trouble où tu me vois, Soleil, je te viens voir pour la dernière fois!
Strona 277 - Mon mal vient de plus loin. A peine au fils d'Egée Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée, Mon repos, mon bonheur semblait être affermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi...
Strona 293 - J'aime, je l'avouerai, cet orgueil généreux Qui jamais n'a fléchi sous le joug amoureux. Phèdre en vain s'honorait des soupirs de Thésée: Pour moi, je suis plus fière, et fuis la gloire aisée D'arracher un hommage à mille autres offert, Et d'entrer dans un cœur de toutes parts ouvert.
Strona 313 - Venge-toi, punis-moi d'un odieux amour. Digne fils du héros qui t'a donné le jour, Délivre l'univers d'un monstre qui t'irrite. La veuve de Thésée ose aimer Hippolyte! Crois-moi, ce monstre affreux ne doit point t'échapper.

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