Elémens de littérature, Tom 1Persan, 1822 |
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Strona 17
... Grecs . En sculpture , en architecture , en poésie , leurs compositions étaient simples , leurs formes étaient simples , leurs ornemens même étaient simples ; on n'y voyait rien de 18 compliqué , rien de confus , rien de pénible- 2 ...
... Grecs . En sculpture , en architecture , en poésie , leurs compositions étaient simples , leurs formes étaient simples , leurs ornemens même étaient simples ; on n'y voyait rien de 18 compliqué , rien de confus , rien de pénible- 2 ...
Strona 18
... Grecs étaient simples , si on les compare avec les nôtres . D'abord elles étaient plus li- bres et plus généralement populaires , par cela seul qu'elles étaient républicaines ; elles étaient aussi moins façonnées et moins polies , parce ...
... Grecs étaient simples , si on les compare avec les nôtres . D'abord elles étaient plus li- bres et plus généralement populaires , par cela seul qu'elles étaient républicaines ; elles étaient aussi moins façonnées et moins polies , parce ...
Strona 20
... Grecs , furent toujours moins sévères que nous . On a dit que leur langue était moins chaste que la nôtre ; c'était leur politesse qui était moins délicate . La langue de Térence , de Ci- céron et de Virgile , était chaste quand on ...
... Grecs , furent toujours moins sévères que nous . On a dit que leur langue était moins chaste que la nôtre ; c'était leur politesse qui était moins délicate . La langue de Térence , de Ci- céron et de Virgile , était chaste quand on ...
Strona 30
... Grecs se joint une autre cause des progrès que , d'un pas égal , firent chez eux l'art et le goût ; et cette cause fut l'importance sérieuse et réelle qu'eurent d'abord les talens de l'esprit , et l'essor que prit le génie , animé par ...
... Grecs se joint une autre cause des progrès que , d'un pas égal , firent chez eux l'art et le goût ; et cette cause fut l'importance sérieuse et réelle qu'eurent d'abord les talens de l'esprit , et l'essor que prit le génie , animé par ...
Strona 33
... Grecs , lorsque l'éloquence devint oiseuse , elle fut vague et vaine . Il Ꭹ avait parmi les sophistes des hommes de génie , auxquels il ne manquait qu'une tribune , un peuple libre , et un Philippe , un Catilina , un Verrès , pour les ...
... Grecs , lorsque l'éloquence devint oiseuse , elle fut vague et vaine . Il Ꭹ avait parmi les sophistes des hommes de génie , auxquels il ne manquait qu'une tribune , un peuple libre , et un Philippe , un Catilina , un Verrès , pour les ...
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Popularne fragmenty
Strona 218 - Nos prêtres ne sont pas ce qu'un vain peuple pense; Notre crédulité fait toute leur science.
Strona 241 - L'enfer s'émeut au bruit de Neptune en furie. Pluton sort de son trône, il pâlit, il s'écrie; II a peur que ce dieu, dans cet affreux séjour, D'un coup de son trident ne fasse entrer le jour, Et, par le centre ouvert de la terre ébranlée, Ne fasse voir du Styx la rive désolée; Ne découvre aux vivants cet empire odieux, Abhorré des mortels, et craint même des dieux1.
Strona 311 - Ce haut rang n'admet point un homme sans honneur; Et ton jaloux orgueil, par cet affront insigne, Malgré le choix du roi, m'en -a su rendre indigne. Et toi, de mes exploits glorieux instrument, . Mais d'un corps tout de glace inutile ornement, Fer, jadis tant à craindre, et qui, dans cette offense...
Strona 269 - Et son teint au vostre pareil. Las ! voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place. Las ! las ! ses beautez laissé cheoir ! ! O vrayment, marastre nature. Puisqu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez vostre jeunesse : Comme à ceste fleur la vieillesse Fera ternir vostre beauté.
Strona 256 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : Minos juge aux enfers tous les pâles humains. Ah! combien frémira son ombre épouvantée Lorsqu'il verra sa fille, à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux enfers?
Strona 265 - Amour trouva celle qui m'est amère , (Et j'y étais , j'en sais bien mieux le conte) : Bonjour , dit-il , bonjour , Vénus ma mère. Puis tout à coup il voit qu'il se mécompte , Dont la couleur au visage lui monte , D'avoir failli honteux , dieu sait combien. Non, non, Amour, ce dis-je, n'ayez honte : Plus clairvoyant que vous s'y trompe bien.
Strona 266 - Or' je te donne ces fleurs; Mais, si tu fais ma rebelle Autant piteuse à mes pleurs Comme à mes yeux elle est belle, Un myrte je...
Strona 279 - Ne sont point des mortels dignes de vos mépris : Leur sort les avilit; mais leur sage constance Fait respecter en eux l'honorable indigence. Sous ses rustiques toits . mon père vertueux Fait le bien , suit les lois , et ne craint que les dieux.
Strona 248 - Hippolyte aime, et je n'en puis douter. Ce farouche Ennemi qu'on ne pouvait dompter, Qu'offensait le respect, qu'importunait la plainte, Ce Tigre, que jamais je n'abordai sans crainte, Soumis, apprivoisé, reconnaît un Vainqueur. Aricie a trouvé le chemin de son cœur.
Strona 234 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.