Bulletin législatif.
SÉNAT, 6. —¿Discours d'ouverture pro-
CORPS, LEGISLATIE - Lettre de MM. Ca-
noncé par le président du Sénat, 28.
vaignae, Carnot et Hénon, 7.
Discours d'ouverture du président du
Corps législatif, 30.
-
Séance du 30 mars, du 1er et du 2 avril
30, 31, 304 dư 13 avril, 118;
du
19 avril, 144, 189; du 18 mai, 418;
→dar-juin, 545; du 12 et 14 juin,
647; — du 18cjuin, 674; 'du 22 juin,
ot
-
"
*727.
761
servations, par M. CHARLES DE RIAN-LETTRE de M. Foisset à M. Lenormant
CEY, 177.
Lettre de M. le comte DE MONTALEM-
sur l'emploi des auteurs profanes, 479.
Post-scriptum de M. Foisset, 521.
Opinion de Mgr l'Evêque de VIVIERS,
583.
BERT à l'Univers, 213.
L'article 70 de la loi sur l'enseignement,
par M. CHARLes de Riancey, 214.
DU CLERGÉ ET DE L'UNIVERSITÉ, par
M. l'abbé Charles Martin, 226.
La loi du 15 mars et l'Univers, par
M. CHARLES DE RIANCEY, 237.
Le projet de loi de M. Fortoul au Conseil-
d'Etat, 264.
Variétés.
D'une assertion historique de M. le pre-
mier président Troplong, par M. H.DE
VATIMESNIL, 173.
RÉPLIQUE adressée à M Troplong, par
M. H. DE VATIMESNIL, 265.
M. GUIZOT à l'Oratoire, par M. HENRY DE RIANCEY, 293.
Des mauvais livres et des mauvais exem-
ples, par M. EMM. DE CURZON, 353. Les ÉCOLES DE FILLES, par M. EMM. DE
CURZON, 553.
LE GRAND SAINT-Bernard, par M. H.
de Riancey, 573, 641.
VIE DE BECQUEY, par M. BEUGNOT, de 1 Institut, par M. HENRY DE RIAN- CEY,
Histoi e de la Révolution française (3o vo-
lume) de M. Louis Blanc, par M. Au- RÉLIEN DE COURSON, 109, 185.
Origine historique de la parole et de la
pensée humaine, par le R. P. CHASTEL,
ch. 7, 21; ch. 8, 433.
De l'origine des connaissances humaines
d'après l'Ecriture sainte, par le R. P.
CHASTEL, 701.
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Instructions sur le Carême, par M. l'abbé
Réaume, 38.-Le journal d'un solitaire,
par M. de Milly, 57.- La clé du trésor
de l'Eglise, ou les indulgences expliquées par M. l'abbé Ravier, 59.- Le mois de
Mai, par M. l'abbé Coulin, 91. — Bulletin
de la Société de Sphragistique, 288.-Les
deux psautiers de la Ste-Vierge, par saint
Bonaventure, traduction de M. Henry
de Riancey, 289.-Moïse révélateur, par
M. l'abbé André, 290.- Journal de Ma-
rie, par M. l'abbé Thiébaud, 290-Marie
ou la destinée de la femme chrétienne,
par M. Edouard de la Baume, 291.-Le
château de Bois-le-Brun, 292.-Histoire
de l'harmonie au moyen-âgé, de M. de
Cousse-Maker, par M. Félix Clément,
349. Pratique du zèle ecclésiastique,
par M. l'abbé Dubois, 449.-Guide aux
eanx minérales, par M. le docteur Cons-
tantin James, 451.-L'almanach du c'er-
gé de France, 451.- La santé univer-
Selle, par M. le docteur Massé, 452. —
L'Algérie racontée à la jeunesse; les
femmes illustres de France, par Mme
Drohojowska, 779-Bibliothèque inysti-
qne et ascétique du douzième au seizième
siècle, par le R. P. Pitra, 656.
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Du nouveau plan d'études et du baccalauréat ès-lettres.
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Nous avons dit toute notre pensée sur le baccalauréat. Malgré les raisons décisives qui militent contre lui, sera-t-il conservé en principe? Nous avons des motifs sérieux de le craindre. Supposons donc ce maintien, contre lequel nous renouvelons au nom de la justice, au nom du sort des études en France, au nom des intérêts de l'ordre public et de l'avenir, les plus expresses réserves. Encore faudra-t-il, de toute nécessité, que des réformes profondes, radicales y soient apportées; réformes dans la nature du baccalauréat, réformes dans son mode d'examen, réformes dans son programme. Cela est inévitable. Nous en avons pour garant la sagesse et les louables intentions des membres du conseil supérieur. Ils ont à discuter un plan d'études; le plan d'études est tout entier dans le baccalauréat. D'ailleurs, ces problèmes, si graves en fait d'enseignement, ont déjà été abordés par le conseil élu sous l'empire de la loi du 15 mars. Des points capitaux étaient acquis, d'autres devaient être obtenus. Evidemment, le nouveau conseil ne saurait abandonner le terrain déjà gagné; les concessions que le gouvernement avait déjà faites ne peuvent être retirées. On ne voudra pas, on ne pourra pas rétrograder dans la voie des sages améliorations et des progrès légitimes.
Prenons donc le baccalauréat tel quel. Voyons ce qu'il est et ce qu'il ne doit plus être, dans la logique même de ses partisans.
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Le baccalauréat, dit-on, est un grade conféré après examen sur l'instruction littéraire. Il achève, il couronne les études littéraires il est la preuve que le bachelier a « fait ses études,» a reçu l'éducation libérale. Aussi : 1° Il est imposé à la sortie des classes. 2° II ne conduit directement à aucune carrière. 3° Il se nomme baccalauréat ès-lettres par opposition aux baccalauréats ès-sciences, en droit, en médecine.
Acceptons la définition, quoiqu'elle puisse être contestée de fond en comble, ainsi que nous l'avons démontré déjà. Il s'agit d'un examen sur des études accomplies. Il ne s'agit pas d'une preuve de capacité pour un emploi à recevoir, pour une profession à exercer. II ne s'agit uniquement que de lettres classiques. Soit. Eh bien: première conséquence, l'examen ne devra porter que sur ce qui est d'éducation essentielle, sur les connaissances que nos pères appelaient L'Ami de la Religion. Tome CLVI.
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